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SERAFINO

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SERAFINO

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DESCRIPTION

SERAFINO
Bonifacio (Corse).
France

Le premier connu à Bonifacio est un certain Vitto Serafino cité dans les actes de la cité en 1519.
Familles alliées : ANDROVANDI 1630, PASSANI, 1690, D'ORIA ou DORIA 1693, MADRIANI 1748, AINARDI 1797, MANSIS 1819.

Armoiries .
" D'azur, à la tête de séraphin au naturel ailée de quatre pièce d'argent. "




Généralités :
SERAFINO ! Que dire sur SERAFINO ?
« Au temps qui détruit tout, l'homme répond par l'image »
SERAFINO est un nom qui s’accompagne d’un blason.
Origine du blason " SERAFINO " : " Corsica, Corsica (i) "
Sont-ils tous descendants d’un ancêtre commun qui s’appelait SERAFINO.
L’origine du nom de famille SERAFINO n’est pas une personnification du hasard.
A la vérité, les SERAFINO ont, eux aussi, écrit l’histoire, à l’ombre de grands personnages.
Et, les armoiries SERAFINO ne suffisent pas à expliquer les raisons de votre curiosité.
Toutes images « SERAFINO », dans l’écoulement du temps, symbolisent la permanence des SERAFINO dans l’Histoire.
Le sceau des SERAFINO scelle ainsi, la charte de la position « mortel immortel » de cette famille ?...
Héraldique SERAFINO.
Un désastreux préjugé hérité de la Révolution, laissa penser que les armoiries étaient l’apanage de la noblesse.
Les nobles ne furent pas les seuls à posséder leurs blasons.
Les Etats, les villes, les provinces, les corporations, les ecclésiastiques, les laïques, les roturiers, etc. eurent leurs armoiries.
De nos jours, toute personne qui le désire, peut porter et arborer un blason.
Trop souvent, l’héraldique est considérée comme une discipline dominée des prétentions nobiliaires.
En fait, le blason permet d’identifier une famille, une personne.
Donner un « état civil » à de nombreux objets : œuvre d’art, antiquités,vaisselles, livres, etc., tout en les datant.
SERAFINO « Droit d’images ».
Chacun peut découvrir que son nom a laissé un « droit d’images » qui nous vient de l’Antiquité.
On nommait ainsi, en droit romain, le privilège par les patriciens seuls d’exposer,
sous l’atrium de leur maison, leur propre image et celles de leurs ancêtres.
Dans certains cas, on brisait les images de ses ancêtres et on les jetait à terre pour les fouler aux pieds.
C’est ce que l’on fit plus tard avec tous les blasons et armoiries de France pendant la Révolution de 1789.


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