DESCRIPTION
GONIN
Bâle
Suisse
Armoiries:
" D'argent, à un coeur d'or, posé au centre de deux triangles vidés, entrelacés en forme d'étoile, le tout embrassé par deux rameaux de laurier de sinople, les pieds passés en sautoir. "
- Cimier: un homme issant, habillé de gueules, ceint et rebrassé d'argent, au rabat du même, supportant de sa main dextre un coeur de gueules, la senestre appuyée sur sa hanche.
- Lambrequin: d'argent et de gueules.
Généralités:
GONIN ! Que dire sur GONIN ?
« Au temps qui détruit tout, l'homme répond par l'image »
GONIN est un nom qui s’accompagne d’un blason. Origine :Wappenbuch der Stadt Basel . B.Meyer Knaus 1880, Schweiz
Sont-ils tous descendants d’un ancêtre commun qui s’appelait GONIN.
L’origine du nom de famille GONIN n’est pas une personnification du hasard.
A la vérité, les GONIN ont, eux aussi, écrit l’histoire, à l’ombre de grands personnages ; et les armoiries GONIN ne suffisent pas à expliquer les raisons de votre curiosité.
Toutes images « GONIN », dans l’écoulement du temps, symbolisent la permanence des GONIN dans l’Histoire.
Le sceau des GONIN scelle ainsi, la charte de la position « mortel immortel » de cette famille ?...
Héraldique GONIN.
Un désastreux préjugé hérité de la Révolution, laissa penser que les armoiries étaient l’apanage de la noblesse.
Les nobles ne furent pas les seuls à posséder leurs blasons.
Les Etats, les villes, les provinces, les corporations, les ecclésiastiques, les laïques, les roturiers, etc. eurent leurs armoiries.
De nos jours, toute personne qui le désire, peut porter et arborer un blason.
Trop souvent, l’héraldique est considérée comme une discipline dominée soit par des prétentions nobiliaires, soit par des préoccupations symboliques ou ésotériques,
soit par l’effet « bling bling ».
En fait, le blason permet d’identifier une famille, une personne ; en outre de donner un « état civil » à de nombreux objets :
œuvre d’art, antiquités, vaisselles, livres, etc., tout en les datant.
GONIN « Droit d’images ».
Chacun peut découvrir que son nom a laissé un « droit d’images » qui nous vient de l’Antiquité.
On nommait ainsi, en droit romain, le privilège possédé, à l’origine, par les patriciens seuls d’exposer, sous l’atrium de leur maison, leur propre image et celles de leurs ancêtres.
Dans certains cas, on brisait les images de ses ancêtres et on les jetait à terre pour les fouler aux pieds.
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