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Malortie

MALORTIE (de)_Normandie, Picardie, Hanovre._France Allemagne. (2)
Réf. : COA56570

MALORTIE

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DESCRIPTION

MALORTIE (de)
Normandie, Picardie, Hanovre.
France, Allemagne.

- Malortie (de), seigneur de Marteville.
- Pierre, seigneur de Cerquigny ou Campigny.

- François, sieur de Boismosren, 16e-17e s.
- Marguerin, sieur de Beaugirard, 17e-18e s.
- Robert, écuyer, 17e-18e s.
- Jacques, écuyer, 17e-18e s.
- Guy, écuyer, prêtre, 17e-18e s.

Armoiries:
" D'azur, à deux chevrons d'or, accompagnés de trois fers de lance du même, 2 en chef et 1 en pointe, les pointes en bas. "
- Couronne: de Marquis.
- Cimier: une tête et col de lévrier d'argent, colletée de gueules, bordé et bouclé d'or.
- Supports: deux lévriers regardants d'argent, colletés de gueules, bordé et bouclé d'or.
- Devise: QUI S'Y FROTTE S'Y PIQUE; ou PLUS ULTRA. (V. Pellegars de Malortie).

Sources héraldiques :
- Armorial des principales Maisons et familles du Royaume, par le sieur Pierre-Paul Dubuisson , 1757.
- Armorial général d’Europe, par J.B. Rietstap (Gouda, 1861).
- Armorial d'Europe par J.B. Rietstap (Gouda, 1884, Berlin, 1934) (Gouda, 1887, Berlin 1937).
- Armorial général J.B. Rietstap, illustré par Victor et Henri Rolland (1903-1926). Colorisé par Lionel Sandoz (1993-2002).
- Armorial Général de France 1696 Normandie (Ch. d'Hozier), par G.A. Prévost, 1918.

Note historique et biographique:
- La maison de Malortie, une des plus anciennes de la province, est aujourd'hui divisée en deux branches principales; l'une habite les terres de la Motte et de Campigny, près de Pont-Audemer, et l'autre, sortie de France après la révocation de l'édit de Nantes, s'est fixée en Hanovre, et y est toujours restée depuis. Ces deux branches descendent des deux fils de Richard de Malortie, vivant en 1430, dont il va être parlé plus bas.
- Charles de Malortie fut blessé au siège de la Rochelle, en 1224. — Guichard, Chevalier, fut blessé à la bataille de Poitiers (1356), et devint par la suite Gentilhomme de la chambre du roi Jean.
- Les alliances des de Malortie, dans cette première période antérieure au XVe siècle, ont été contractées avec les familles de Guyon, de Villeberlain, des Landes, de Pouanges, de Mégrigny, de Courgerenne, de Clère, de Sancy, de Béruyer.
- En 1450, le petit-fils de Guichard, Richard de Malortie, Chevalier, Seigneur de Brévedent, de Fontaine, du Breuil et des Préaux, plus tard Comte de Conches et de Breteuil, jouait un rôle distingué, et rendait des services importants au roi Charles VII dans les guerres contre les Anglais. Il fut successivement Écuyer de l'écurie du Roi, puis Gentilhomme de sa chambre. Il épousa, en 1451, demoiselle Marie Lempereur, dame de Villars, et acheta en 1456 le fief de la Motte ; son tombeau se voit, en un monument de beau style gothique, dans l'église de la paroisse de Saint-Germain, près Pont-Audemer, dans laquelle se trouve la terre de la Motte.
- C’est de cette alliance que sont nés les deux fils, auteurs des deux branches qui subsistent de nos jours : l’aîné, Robert, qui est la tige de celle de la Motte et de Campigny ; le cadet, Jean, qui forma la branche de Villars.
- Dans la branche aînée, nous citerons particulièrement : Jean de Malortie, Chevalier, blessé à la bataille de Marignan, marié en 1514 à Jeanne d’Esneval, issue de la noble et puissante maison princière de Dreux ; elle lui apporta en dot la terre de Campigny, fief-plein de Haubert, relevant nuement du Roi.
- Robert, son fils, Gouverneur de Quillebeuf, a épousé, en 1556, Jacqueline de Roncherolles, et eut, entre autres enfants :
- Cette branche est actuellement représentée par :
- Ludovic, Comte de Malortie, ancien Magistrat, démissionnaire en 1830, possesseur de l'ancien fief de Campigny, marié, en 1839, à mademoiselle Augustine-Henriette-Hyacinthe d’Héliand, dont il a deux filles;
Et par Charles-Benoît de Malortie, son cousin germain, ancien Magistrat, aussi démissionnaire en 1830, possesseur de l'ancien fief de la Motte, marié, en 1833, à mademoiselle Marie-Albertine Hallé d’Amfreville de Candos. De ce mariage il a un fils : Charles-Henri de Malortie, et une fille Louise; une fille aînée, Marie, qui avait épousé M. Justin de Saint-Léger, est morte en 1859.
Les autres alliances de cette branche, non mentionnées ci-dessus, ont été contractées avec les familles de Billy, de Courcy, de Calais, Grosourdy de Saint-Pierre, Jubert de Bouville, de la Barre, Legrix de Montreuil, Gaudin, de Cahaigne, Blondel de Lislebec, de Gibert, de la Roque.

Deuxième Branche
- La branche des de Malortie de Villars, qui a eu pour premier auteur Jean, fils de Richard et de Marie Lempereur, a produit plusieurs personnages distingués, d'abord ledit Jean, Écuyer, Seigneur de Villars, époux, en 1504, de Yolande du Bois-d'Annemetz ; et un autre Jean, Chevalier, Seigneur de Villars et de Glatigny, Chevalier de l'Ordre du Roi en 1563, époux de demoiselle Louise de Bimont.
- Après 1640, cette branche s'est subdivisée en deux rameaux, l'un, celui des Marquis de Villars et de Boudeville ; l'autre, celui des Seigneurs de Bimont, établi en Hanovre, et rapporté plus loin. Le premier rameau a produit :
- François de Malortie, Marquis de Villars, marié, en 1682, à demoiselle Anne de Sarrau.
- Jacques-Gustave de Malortie, Maréchal-de-Camp, Inspecteur-général de cavalerie et Chevalier de Saint-Louis, qui a épousé, en 1691, Marie-Thérèse de Brisacier, et eut deux enfants :
1° Jean-François de Malortie, Marquis de Boudeville, reçu Page du Roi en 1711, Maréchal-de-Camp le 1er mai 1745, marié à Françoise-Charlotte de Senneterre, fille de Henri-François de Senneterre, Duc de La Ferté, Lieutenant-Général et Pair de France;
2° Marie-Anne; mariée, en 1710, à messire Jean-François-Antoine-Léonor de Gaude, Comte de Martainville, Mestre-de-Camp de cavalerie, dont une fille :
A. Marie-Thérèse de Gaude, laquelle a épousé, en 1749, Philippe-Charles, Comte d'Hunolstein. De lui sont descendus : Pierre-Antoine, Comte d'Hunolstein, Maréchal-de-Camp en 1788; Philippe-Charles-Félix, Comte d'Hunolstein, Pair de France en 1819, et Louis-Marie-Paul, Comte d'Hunolstein, ancien Député du département de la Moselle.

Second rameau de la deuxième branche d'une famille ou lignée.
Le rameau des Seigneurs de Bimont, professant la religion protestante, quitta la France après la révocation de l'Édit de Nantes (1685) et s'établit à Hanovre, où il a encore des descendants. Voici sa filiation :
- Charles de Malortie, entré au service du roi de Hanovre, devint colonel d'infanterie (Drossard de Fallingbossel) et épousa, en 1691, Caroline-Antoinette.
- Ce texte retrace l'exil d'une branche protestante française, celle des Seigneurs de Bimont, suite à la révocation de l'Édit de Nantes, et l'installation de Charles de Malortie à Hanovre, où il fut au service du roi et épousa Caroline-Antoinette.
- Son Excellence Ernest de Malortie, chef actuel de la seconde branche, né en 1804, Grand-croix ou Commandeur de tous les Ordres des puissances allemandes, a été, de 1833 à 1862, Grand-Maréchal de la Cour de Sa Majesté le roi de Hanovre. Depuis, il a été élevé à la dignité de Ministre d'État et de la Maison du Roi.



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MALORTIE (von)
Normandie, Picardie, Hannover.
Frankreich, Deutschland.

- Malortie (von), Herr von Marteville.
- Pierre, Herr von Cerquigny oder Campigny.

- François, Herr von Boismosren, 16.-17. Jh.
- Marguerin, Herr von Beaugirard, 17.-18. Jh.
- Robert, Knappe, 17.-18. Jh.
- Jacques, Knappe, 17.-18. Jh.
- Guy, Knappe, Priester, 17.-18. Jh.

Wappen:
"Blau, mit zwei goldenen Sparren, begleitet von drei goldenen Lanzenköpfen, zwei im Oberwappen und einer in der Spitze, die Spitzen nach unten."
- Helmzier: Ein silberner Windhundkopf und -hals, mit rotem Halsband, golden eingefasst und geschnallt.
- Schildhalter: Zwei einander zugewandte silberne Windhunde, mit rotem Halsband, golden eingefasst und geschnallt.
- Motto: PLUS ULTRA. (Siehe Pellegars de Malortie).

Heraldische Quellen:
- Armorial des principales Maisons et familles du Royaume, von Pierre-Paul Dubuisson, 1757.
- Armorial général d’Europe, von J.B. Rietstap (Gouda, 1861).
- Armorial d'Europe, von J.B. Rietstap (Gouda, 1884, Berlin, 1934) (Gouda, 1887, Berlin 1937).
- Armorial général J.B. Rietstap, illustriert von Victor und Henri Rolland (1903-1926). Koloriert von Lionel Sandoz (1993-2002).
- Armorial Général de France 1696 Normandie (Ch. d'Hozier), von G.A. Prévost, 1918.

Historische und biografische Anmerkung:
- Das Haus Malortie, eines der ältesten des Landes, ist heute in zwei Hauptzweige unterteilt: der eine bewohnt die Ländereien von La Motte und Campigny, in der Nähe von Pont-Audemer, und der andere, der nach der Aufhebung des Edikts von Nantes Frankreich verließ, hat sich in Hannover niedergelassen und ist seitdem dort geblieben. Diese beiden Zweige stammen von den beiden Söhnen von Richard de Malortie, der im Jahr 1430 lebte und weiter unten erwähnt wird, ab.
- Charles de Malortie wurde bei der Belagerung von La Rochelle im Jahr 1224 verwundet. — Guichard, Ritter, wurde in der Schlacht von Poitiers (1356) verwundet und wurde anschließend Kämmerer des Königs Johann.
- Die Verbindungen der Familie de Malortie in der ersten, vor dem 15. Jahrhundert liegenden Periode wurden mit den Familien Guyon, Villeberlain, des Landes, Pouanges, Mégrigny, Courgerenne, Clère, Sancy und Béruyer geschlossen.
- Im Jahr 1450 spielte Richard de Malortie, der Enkel von Guichard, Ritter, Herr von Brévedent, Fontaine, Breuil und Préaux, später Graf von Conches und Breteuil, eine bedeutende Rolle und leistete König Karl VII. in den Kriegen gegen die Engländer wichtige Dienste. Er war nacheinander Stallmeister des Königs und dann Kämmerer seines Hofes. Er heiratete 1451 Fräulein Marie Lempereur, Dame von Villars, und kaufte 1456 das Lehen La Motte; sein Grab befindet sich als gotisches Denkmal in der Kirche der Gemeinde Saint-Germain, nahe Pont-Audemer, wo sich das Land von La Motte befindet.
- Aus dieser Verbindung gingen zwei Söhne hervor, die die Gründer der beiden bis heute bestehenden Zweige sind: der Ältere, Robert, ist der Stammvater des Zweigs La Motte und Campigny; der Jüngere, Jean, gründete den Zweig Villars.
- Im älteren Zweig erwähnen wir besonders: Jean de Malortie, Ritter, der in der Schlacht von Marignano verwundet wurde und 1514 Jeanne d'Esneval heiratete, die aus dem edlen und mächtigen Fürstenhaus Dreux stammte; sie brachte ihm das Land Campigny als Mitgift, ein Lehngut, das dem König direkt unterstellt war.
- Robert, sein Sohn, Gouverneur von Quillebeuf, heiratete 1556 Jacqueline de Roncherolles und hatte unter anderen Kindern:
- Dieser Zweig wird heute vertreten durch:
- Ludovic, Graf de Malortie, ehemaliger Richter, der 1830 zurücktrat, Besitzer des alten Lehens Campigny, der 1839 Fräulein Augustine-Henriette-Hyacinthe d’Héliand heiratete, mit der er zwei Töchter hat;
- Und durch Charles-Benoît de Malortie, seinen Cousin ersten Grades, ebenfalls ehemaliger Richter, der 1830 zurücktrat, Besitzer des alten Lehens La Motte, der 1833 Fräulein Marie-Albertine Hallé d’Amfreville de Candos heiratete. Aus dieser Ehe gingen ein Sohn, Charles-Henri de Malortie, und eine Tochter, Louise, hervor; die älteste Tochter, Marie, die Herrn Justin de Saint-Léger geheiratet hatte, verstarb 1859.
- Die weiteren Verbindungen dieses Zweigs, die oben nicht erwähnt wurden, wurden mit den Familien Billy, de Courcy, de Calais, Grosourdy de Saint-Pierre, Jubert de Bouville, de la Barre, Legrix de Montreuil, Gaudin, de Cahaigne, Blondel de Lislebec, de Gibert und de la Roque geschlossen.

Zweiter Zweig
- Der Zweig der de Malortie de Villars, dessen Stammvater Jean, Sohn von Richard und Marie Lempereur, ist, brachte mehrere bedeutende Persönlichkeiten hervor, darunter den genannten Jean, Knappe, Herr von Villars, der 1504 Yolande du Bois-d'Annemetz heiratete; und einen weiteren Jean, Ritter, Herr von Villars und Glatigny, Ritter des Ordens des Königs im Jahr 1563, der Fräulein Louise de Bimont heiratete.
- Nach 1640 teilte sich dieser Zweig in zwei Linien, die eine ist die der Marquis von Villars und Boudeville, die andere die der Herren von Bimont, die sich in Hannover niederließen und weiter entfernt aufgeführt sind. Die erste Linie brachte hervor:
- François de Malortie, Marquis von Villars, der 1682 Fräulein Anne de Sarrau heiratete.
- Jacques-Gustave de Malortie, Generalfeldmarschall, Generalinspekteur der Kavallerie und Ritter des Heiligen Ludwig, der 1691 Marie-Thérèse de Brisacier heiratete und zwei Kinder hatte:
1° Jean-François de Malortie, Marquis von Boudeville, 1711 als Page des Königs aufgenommen, Generalfeldmarschall am 1. Mai 1745, verheiratet mit Françoise-Charlotte de Senneterre, Tochter von Henri-François de Senneterre, Herzog von La Ferté, Generalleutnant und Pair von Frankreich;
2° Marie-Anne; heiratete 1710 den Herrn Jean-François-Antoine-Léonor de Gaude, Graf von Martainville, Oberst der Kavallerie, aus deren Ehe eine Tochter hervorging:
A. Marie-Thérèse de Gaude, die 1749 Philippe-Charles, Graf von Hunolstein, heiratete. Von ihm stammen ab: Pierre-Antoine, Graf von Hunolstein, Generalfeldmarschall im Jahr 1788; Philippe-Charles-Félix, Graf von Hunolstein, Pair von Frankreich im Jahr 1819, und Louis-Marie-Paul, Graf von Hunolstein, ehemaliger Abgeordneter des Departements Moselle.

Zweite Zweiglinie des zweiten Familienastes.
Der Zweig der Herren von Bimont, der die protestantische Religion ausübte, verließ Frankreich nach der Aufhebung des Edikts von Nantes (1685) und ließ sich in Hannover nieder, wo er noch immer Nachkommen hat. Hier ist seine Abstammung:
- Charles de Malortie, der in den Dienst des Königs von Hannover trat, wurde Infanterieoberst (Drossard von Fallingbossel) und heiratete 1691 Caroline-Antoinette.
- Dieser Text schildert das Exil eines französischen protestantischen Zweiges, jener der Herren von Bimont, infolge der Aufhebung des Edikts von Nantes, und die Ansiedlung von Charles de Malortie in Hannover, wo er im Dienst des Königs stand und Caroline-Antoinette heiratete.
- Seine Exzellenz Ernest de Malortie, der heutige Leiter des zweiten Zweiges, geboren 1804, Großkreuz oder Kommandeur aller Orden der deutschen Mächte, war von 1833 bis 1862 Großmarschall am Hofe Seiner Majestät des Königs von Hannover. Seitdem wurde er in den Rang eines Staatsministers und des Hauses des Königs erhoben.

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