DESCRIPTION
de BOSSCHAERT DE BOUWEL
Anvers
Belgique
- La Haye, 13 mars 1816. Le roi Guillaume Ier. Nomminationde Paul-Joseph-jean de Bosschaert de Bouwel avec le titre de chevalier au Corps équestre de la province d'Anvers.
- Chevaliers, 1820. Maintenu en état de noblesse le 24 sept. 1836.
Armoiries :
" D'or, à l'arbre sec et arraché de sable, poussant quatre branches, deux de chaque coté, la racine s'étendant aussi en forme de deux branches, accompagné de trois vanneaux de sable, deux sur les branches inférieures et un en pointe. "
- Casque couronné.
- Cimier: un vanneau de sable.
- Supports: deux lions regardants d'or, armés et lampassés de gueules, tenant chacun une bannière, celle à dextre aux armes de l'écu, celle à senestre aux armes de van den Branden qui sont écartelé: aux 1 et 4, d'or, à trois pals de sable, et au chef d'argent chargé d'une étoile de gueules; aux 2 et 3, parti d'azur à la demi-aigle de sable, becquée et membrée de gueules, mouvant du parti, et d'un vairé de gueules et d'argent.
Sources :
- Armorial d'Europe par J.B.Rietstap (Gouda, 1884, Berlin, 1934) (Gouda, 1887, Berlin 1937).
- Armorial général J.B. Rietstap illustré par Victor et Henri Rolland (1903-1926). Colorisé par Lionel Sandoz (1993-2002).
- Armorial de la Noblesse belge.
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Généralités :
Bosschaert de Bouwel ! Que dire sur Bosschaert de Bouwel ?
« Au temps qui détruit tout, l'homme répond par l'image » (Michel Tournier)
« Bosschaert de Bouwel est un nom qui s’accompagne d’un blason » ( , )
Sont-ils tous descendants d’un ancêtre commun qui s’appelait Bosschaert de Bouwel.
L’origine du nom de famille Bosschaert de Bouwel n’est pas une personnification du hasard.
A la vérité, les Bosschaert de Bouwel ont, eux aussi, écrit l’histoire, à l’ombre de grands personnages ; et les armoiries Bosschaert de Bouwel ne suffisent pas à expliquer les raisons de votre curiosité.
Toutes images « Bosschaert de Bouwel », dans l’écoulement du temps, symbolisent la permanence des Bosschaert de Bouwel dans l’Histoire.
Le sceau des Bosschaert de Bouwel scelle ainsi, la charte de la position « mortel immortel » de cette famille ?...
Héraldique Bosschaert de Bouwel.
Un désastreux préjugé hérité de la Révolution, laissa penser que les armoiries étaient l’apanage de la noblesse.
Les nobles ne furent pas les seuls à posséder leurs blasons.
Les Etats, les villes, les provinces, les corporations, les ecclésiastiques, les laïques, les roturiers, etc. eurent leurs armoiries.
De nos jours, toute personne qui le désire, peut porter et arborer un blason.
Trop souvent, l’héraldique est considérée comme une discipline dominée soit par des prétentions nobiliaires, soit par des préoccupations symboliques ou ésotériques, soit par l’effet « bling bling ».
En fait, le blason permet d’identifier une famille, une personne ; en outre de donner un « état civil » à de nombreux objets : œuvre d’art, antiquités, vaisselles, livres, etc., tout en les datant.
Bosschaert de Bouwel « Droit d’images ».
Chacun peut découvrir que son nom a laissé un « droit d’images » qui nous vient de l’Antiquité.
On nommait ainsi, en droit romain, le privilège possédé, à l’origine, par les patriciens seuls d’exposer, sous l’atrium de leur maison, leur propre image et celles de leurs ancêtres.
Dans certains cas, on brisait les images de ses ancêtres et on les jetait à terre pour les fouler aux pieds.
C’est ce que l’on fit plus tard pour les armoiries des nobles pendant la Révolution Française.
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