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MÉRIGOT

MÉRIGOT_Auvergne_France (2)

MÉRIGOT

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DESCRIPTION

MÉRIGOT
Auvergne
France

- Aymeric, alias MÉRIGOT de Roquemaurel, fut inscrit à l'Armorial de 1150.
- François MÉRIGOT, seigneur de Sainte-Fère, sénéchal de la Marche, 1716.

Armoiries :
" D'azur, au chevron d'or, chargé de trois coquilles de sable et accompagné de trois étoiles d'argent. "

Sources héraldiques :
- Armorial général d’Europe, par J.B. Rietstap (Gouda, 1861).
- Armorial d'Europe par J.B. Rietstap (Gouda, 1884, Berlin, 1934) (Gouda, 1887, Berlin 1937).
- Armorial général J.B. Rietstap, illustré par Victor et Henri Rolland (1903-1926). Colorisé par Lionel Sandoz (1993-2002).

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Les armoiries de la famille MÉRIGOT sont blasonnées :

"D'azur, au chevron d'or, chargé de trois coquilles de sable et accompagné de trois étoiles d'argent."

Ces armoiries évoquent des valeurs profondes associées à cette famille :
- Le chevron d’or, symbole d’honneur et de protection, rappelle peut-être un engagement dans les guerres féodales ou un service fidèle rendu à un suzerain.
- Les coquilles de sable sont des attributs héraldiques souvent liées aux pèlerinages, en particulier celui de Saint-Jacques-de-Compostelle. Elles pourraient refléter la dévotion religieuse des MÉRIGOT ou leur participation à des croisades.
- Les étoiles d’argent, par leur éclat et leur pureté, symbolisent l’espoir, l’ambition et l’élévation spirituelle, traits qui caractérisent souvent les familles nobles de cette région.

Les armoiries de la famille MÉRIGOT sont bien documentées dans plusieurs ouvrages de référence en héraldique, attestant de leur notoriété à l’échelle européenne :
- Armorial général d’Europe par J.B. Rietstap (Gouda, 1861), qui consigne les armes des principales familles nobles européennes.
- Éditions postérieures de cet armorial, notamment celles de 1884 et 1934, qui renforcent la reconnaissance des MÉRIGOT au sein de l’armorial européen.
- Armorial général illustré par Victor et Henri Rolland (1903-1926), œuvre majeure de l’héraldique, enrichie et colorisée par Lionel Sandoz (1993-2002), mettant en lumière les détails des armes MÉRIGOT avec une précision remarquable. (site: armorial.org).

Bien que les archives spécifiques retraçant la généalogie complète des MÉRIGOT soient encore à explorer, leur représentation héraldique demeure un témoignage précieux de leur place dans l’histoire et le patrimoine de l’Auvergne.

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Notice historique sur la famille de MÉRIGOT en Auvergne.

La famille MÉRIGOT, également connue sous l’appellation des seigneurs de MÉRIGOT, trouve son origine en Auvergne, plus précisément dans l'actuel département du Cantal. Son nom est intimement lié à plusieurs toponymes encore présents aujourd'hui, témoins de son ancrage territorial et de son influence passée dans cette région.
- La présence de la famille MÉRIGOT est attestée dès le XIIe siècle, avec Aymeric, alias MÉRIGOT de Roquemaurel, inscrit à l'Armorial de 1150. Ce personnage semble incarner les débuts de la lignée, inscrite dans le cadre féodal et probablement alliée à d'autres familles locales pour la gestion des terres et la défense des seigneuries.
- Au début du XVIIIe siècle, un autre membre illustre de la famille émerge : François MÉRIGOT, seigneur de Sainte-Fère et sénéchal de la Marche en 1716. Ce dernier illustre le maintien de la famille dans les cercles du pouvoir régional, en tant qu'administrateur et noble d'influence, renforçant ainsi l'ancrage aristocratique des MÉRIGOT sur plusieurs siècles.

Plusieurs lieux-dits et sites naturels, répartis dans le département du Cantal, témoignent de l’empreinte laissée par la famille sur le territoire auvergnat :
- MÉRIGOT-le-Château, Saint-Étienne-de-Chomel (Cantal)
Ce lieu, anciennement fortifié, semble indiquer la présence d’une seigneurie ou d’un château ayant appartenu à la famille. Il pourrait avoir été le centre de leur pouvoir et de leur administration sur les terres environnantes.
- MÉRIGOT, Champs-sur-Tarentaine-Marchal (Cantal)
Ce toponyme pourrait refléter différentes propriétés ou domaines gérés par les membres de la famille ou leurs vassaux.
- Étang de MÉRIGOT, Champs-sur-Tarentaine-Marchal (Cantal)
Ce site naturel porte le nom de la famille, suggérant une possible exploitation ou une propriété leur ayant appartenu, liée aux ressources en eau, précieuses pour l'économie et la gestion des terres.
- MÉRIGOT, Arpajon-sur-Cère (Cantal)
Ce hameau ou domaine, mentionné sous le nom de MÉRIGOT, est un autre indice de l’expansion des possessions ou de l'origine du nom de la famille, confirmant leur présence dans plusieurs localités au cœur de l'Auvergne.

- Les MÉRIGOT semblent avoir été une famille de petite noblesse ou de propriétaires terriens influents, dont l’histoire reste à approfondir à travers des archives locales (notamment terriers et chartes seigneuriales). Leur association avec des lieux-dits stratégiquement dispersés dans le Cantal suggère qu’ils ont participé au développement féodal de la région et qu’ils ont laissé une empreinte durable sur le paysage et la toponymie.
- De Roquemaurel à Sainte-Fère, les MÉRIGOT illustrent le passage d’une noblesse féodale enracinée à une fonction nobiliaire et administrative sous l’Ancien Régime, montrant une remarquable continuité dans leur rôle régional.

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Notice historique sur les biographies des MÉRIGOT en France : figures remarquables et variées.

MÉRIGOT-MARCEL (XIVe siècle)
Aventurier tristement célèbre, MÉRIGOT-Marcel est né à Ussel (Corrèze) et s'est illustré par ses actes de pillage et de rapine. Vers 1390, suivant l’exemple du chef breton Geoffroy Tête-Noire, il s’empara du château de la Roche-Vandais en Auvergne par ruse et ravagea la région. Il poussa même ses exactions jusqu’à Ussel et au château de Saint-Exupéry. Assiégé par les troupes royales, il tenta de solliciter l’aide du roi d’Angleterre, mais fut abandonné à son sort. Son oncle Guyot, à qui il avait confié la Roche-Vandais, capitula rapidement. MÉRIGOT, traqué, fut finalement capturé et écartelé, marquant une fin violente à sa carrière de brigandage.
(Dictionnaire historique et biographique des hommes célèbres et de tous les illustres de la Corrèze, Joseph Jacques Marie Casimir de Bergues La Garde, 1871)

MÉRIGOT, Pierre Ier (1510-1575)
Graveur de médailles et de monnaies, Pierre Ier MÉRIGOT, né à Paris en 1510, exerça son art entre 1535 et 1575. Il est particulièrement connu pour ses créations de jetons pour la Cour des monnaies et pour le chapitre de Notre-Dame du Puy, contribuant à la splendeur de la numismatique française au XVIe siècle.
(Dictionnaire biographique des artistes français du XIIe au XVIIe siècle, André Bérard, 1872)

MÉRIGOT, Guillaume (actif entre 1581 et 1588)
Fils d’Étienne MÉRIGOT, Guillaume se distingua comme graveur particulier des monnaies de France à l’atelier monétaire de Bourges entre 1581 et 1588. Héritier d’une tradition familiale, il participa à l’essor artistique et technique de la gravure monétaire à la fin du XVIe siècle.
(Dictionnaire biographique des artistes français du XIIe au XVIIe siècle, André Bérard, 1872)

MÉRIGOT, éditeur parisien (XVIIIe siècle)
Connu sous le nom de MÉRIGOT le jeune, cet éditeur parisien a publié en 1779 les Nouveaux mélanges de poésie grecque de Scipion Allut, accompagnés de morceaux de littérature anglaise. Sa contribution illustre le rôle des MÉRIGOT dans la diffusion culturelle au XVIIIe siècle.

MÉRIGOT, Christophe (XVIIe siècle)
Christophe MÉRIGOT s’est illustré comme auteur en publiant en 1627 la Vie de Philippine de Gueldre, une biographie retraçant la vie de cette reine de Jérusalem et de Sicile devenue religieuse. Son ouvrage, édité à Pont-à-Mousson, témoigne de l’intérêt des MÉRIGOT pour les lettres et l’histoire religieuse.
(Bibliographie biographique universelle, Édouard-Marie Oettinger, 1854)


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