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de POURQUERY de LA ROCHE

de POURQUERY de LA ROCHE_Périgord_France  (1)

DE POURQUERY DE LA ROCHE

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DESCRIPTION

De POURQUERY de LA BIGOTIE & de POURQUERY de LA ROCHE.
Périgord, en Agenais, en Poitou, Ferrara, Reggio-Emilia.
France, Italie.

Armories:
" D'azur au porc-épic d'argent défendu et armé du même ; au chef du second semé de trèfles de sable à l'aigle au vol éployé du même brochante " (relevées sur des sceaux antérieurs à 1789, dans lesquels elles se trouvent parties de celles de POURQUERY de LA ROCHE ancien qui est : " d'azur à la hure de sanglier d'argent, et accollées à celles de GRENIER DE MONTLONG) qui sont : " Tranché: au 1, d'argent, à une aigle de sable, le vol abaissé, au 2, de gueules, au lion d'argent, à une bande d'azur, chargée de trois étoiles d'or, au chef d'or, chargé d'une tête de More de sable. "
- Couronne de comte.
- supports : deux griffons.


Note historique et biographique de POURQUERY de LA BIGOTIE & de POURQUERY de LA ROCHE.

Très hauts et puissants Seigneurs, nobles, messires, écuyers, chevaliers, Seigneurs de la Bigotie, Péchalves, la Caserie, Montdonnel, Roussille, Ponterie, Négobie, la Pontonnnie, Blanzac, la Bernardie, Capdrot, Gardonne, les Maurigoux, etc., etc.;
- seigneurs, barons et vicomtes de LA ROCHE; vicomtes de la Valade; co-seigneurs de Marsalès, Couze, Saint-Cybard, Mouleydier, Saint-Aigne, Toutifaux, etc., etc.;
- seigneurs, comtes et marquis de LA ROQUE, etc., etc.

La maison de POURQUERY appartient à la noblesse du Périgord par son origine, son principal établissement, et par la majeure partie de ses alliances. Elle semble originaire de la petite ville de Montpazier, située dans le duché de Biron, en la sénéchaussée et élection de Sarlat, aux confins de la province d'Agenais, où elle est établie dès le milieu du XVe siècle. Alternant entre la robe et l'épée, ses membres se sont distingués dans ces deux carrières et se sont constamment alliés aux premières familles de leur province.

La généalogie de cette maison, qui nous semble noble d'extraction, s'établit, à partir de l'an 1418, de la manière suivante :

1. Jean DE POURQUERY, Ier du nom, écuyer, est mentionné dans le rôle des gentilshommes ayant comparu sous la charge de messire Antoine de la Vergne, chevalier, lors de la revue faite à Bayac, en la sénéchaussée de Bergerac, le 1er juin 1448. (Armorial de la noblesse de France, par M. D'Auriac.) Il fut père de :

2. Jean-François DE POURQUERY, Ier du nom, écuyer, marié à Jacquette Du Couderc, fille de Nicolas du Couderc, écuyer (Titres du Couderc, au même rapport), et laissa de cette union :

3. Jean DE POURQUERY, II du nom, épousa Marthe Pelchamp par contrat du 24 avril 1498 (Extrait du contrat de mariage, au même rapport), dont provenaient, entre autres enfants :
1. Mathieu, dont l'article suit ;
2. Un fils dont le nom n'est pas précisé, qui laissa un fils nommé :

4. Noble Robert de POURQUERY, écuyer, homme d'armes, à la requête duquel fut ouvert, en 1570, le testament de Jean de POURQUERY, son cousin germain. (Ibid.)

5. Noble Mathieu DE POURQUERY, écuyer, juge royal de la ville de Montpazier, en Périgord, y habitant, assista, en 1558, au contrat de mariage de son fils. (Ibid., et titres cités infra.)

6. Noble Jean DE POURQUERY, III du nom, écuyer, seigneur de La Bigotie, juge royal de la ville de Montpazier, fit son testament olographe le 15 août 1570. (Original en papier, cité dans les notes généalogiques provenant du cabinet de MM. d'Hozier, devenues la propriété de la famille, ainsi que la plupart des documents ayant servi à dresser la présente généalogie, jusqu'en 1761.) Jean de POURQUERY se qualifie, dans cet acte, d'écuyer, seigneur de La Bigotie ; souhaite que son corps soit enseveli en l'église paroissiale de la ville de Montpazier, au tombeau de ses ancêtres ; nomme sa femme et ses enfants vivants, dont nous parlerons plus bas ; donne à sa femme l'usufruit de ses biens ; lègue à Antoine et Robert de POURQUERY, ses fils, la somme de 5,000 livres, payable lorsqu'ils auront vingt-cinq ans ; et nomme pour exécuteur de ses dernières volontés Robert de POURQUERY, son cousin, qu'il qualifie comme nous l'avons fait ci-dessus. Ce testament fut signé le même jour dans la maison noble de Péchalvès, juridiction de Montpazier, en Périgord, et en présence de : Maître Pierre du Fraysse, avocat en la Cour ; sieur Étienne Touron, sieur du Mas, Jean Chanut, Hélie Martin, Jean Lacom, Jean Cormel et Jean Des Cars, habitants dudit Montpazier. Il fut ouvert devant J. Bonny, notaire royal, le 15 octobre 1570, à la requête dudit noble Robert de POURQUERY, écuyer, homme d'armes, habitant de Montpazier, cousin germain de feu sieur Jean de POURQUERY, seigneur de La Bigotie, juge de la ville de Montpazier, en présence de Jean Dellac et Pierre Pignol, praticiens, habitants de la même ville.

Jean de POURQUERY épousa, par contrat en date du 12 janvier 1558 (source citée, ibid.), demoiselle Marguerite du Perrier, fille naturelle et légitime de noble Antoine du Perrier, écuyer, de la paroisse du Change, dans la châtellenie d'Auberoche. Pour ce mariage, le père de la future épousée constitua une dot de 4 000 livres, incluant les biens provenant des successions et promesses qui lui avaient été faites par feues Catherine de Royère et Françoise de La Romagère, sa mère et sa grand-mère. Le sieur de POURQUERY céda à son fils la moitié de tous ses biens. Ces actes furent passés au lieu de Puylaliée, paroisse de Savignac, en Périgord, en présence des honorables Pierre Lambert, avocat, et Raymond Lambert, sieur de La Roussie, et ratifiés devant de Foucauld, notaire en Périgord.

Jean de POURQUERY eut de sa femme, qui mourut avant lui sans testament (ibid.), plusieurs enfants, dont :

1. Noble Monsieur François de POURQUERY, écuyer, seigneur de La Bigotie, de Péchalvès et de Montdonnel, ancien officier dans la compagnie franche de Monsieur de Hautefort, puis juge royal héréditaire de la ville de Montpazier. Nommé premier dans le testament de son père, il conclut un accord avec ses frères et sœur le 4 février 1598, acte passé au noble repaire de Montdonnel, paroisse de Couze, en Périgord, devant Gontier, notaire royal, en présence de Jean Francaud, habitant du bourg de Couze, et de noble Robert de POURQUERY, écuyer, habitant de Montpazier (manuscrits, ibid.). Marié à demoiselle Marie-Anne du Barry, il fit avec elle son testament le 2 janvier 1612, acte passé au noble repaire de Péchalvès, juridiction de Montpazier, devant Conte, notaire royal, en présence de Maître Geoffroy Chaudourne, avocat en la Cour de Parlement de Bordeaux, Maître Antoine Maurial, praticien, Jean Siméon, Jean Clausun, praticien, et l'autre Jean Clausun, son fils, et enfin l'autre Jean Siméon, son neveu, marchand, tous habitants de la ville de Montpazier. Dans cet acte, le sieur et la dame de POURQUERY nommèrent leurs enfants ci-dessous, et déclarèrent vouloir être ensevelis tous deux dans le tombeau de leurs prédécesseurs, dans l'église chapitrale et paroissiale de Montpazier, instituant Raymond de POURQUERY, leur fils aîné, héritier universel de leurs biens.

A. Messire Raymond de POURQUERY, écuyer, seigneur de La Bigotie et de Péchalvès, ancien officier au régiment d'Hautefort, puis juge royal de la ville de Montpazier, y habitant, épousa, par contrat en date du 15 septembre 1628 (source citée dans les manuscrits, ibid.), Françoise de Bertin de Saint-Laurent, demoiselle, fille de feu Jacques de Bertin, écuyer, habitant du repaire noble de Quabessou, paroisse d'Angoisse, en Périgord, où le contrat fut passé devant Rousset, notaire royal, en présence d'Antoine Magne, écuyer, sieur du Poirier, Jean Magne, écuyer, sieur de Queyroy, Guillaume Maniot, marchand, Maître François Vallade, praticien, et Jacques POURQUERY, écuyer. Raymond de POURQUERY accepta la future épouse avec tous les droits qui pouvaient lui revenir de la succession de son père, Jacques de Bertin, défunt, et de demoiselle Élisabeth Tenant, sa mère. Raymond de POURQUERY fit son testament le 13 septembre 1657, dans sa maison de Montpazier, devant Maurial, notaire royal. Il y désigna son épouse et leurs enfants ci-dessous, mineurs, en donnant à leur mère le rôle de curatrice ; il légua 5 000 livres à ses enfants Marc-Antoine, Marc et Catherine de POURQUERY, payables à leurs 25 ans, et institua son fils aîné, Jean-François de POURQUERY, comme héritier universel (source citée, ibid.). Raymond de POURQUERY, habitant le repaire noble de Montdonnel, fut inscrit sur la liste des gentilshommes de la sénéchaussée de Sarlat, convoqués en 1696 pour produire leurs titres nobiliaires devant l'intendant de Guienne pour la seconde recherche. Il semble qu'il était déjà décédé, car aucune mention de condamnation ou de maintien ne le concerne (Archives de Bordeaux, registre noblesse ; cabinet de l'auteur). Il laissa, entre autres enfants issus de son mariage :

- Jean-François de POURQUERY, qui semble avoir été confondu par d'Hozier, dans les notes déjà citées, avec Jean-François de POURQUERY II, fils de Charles et de Françoise de Guinet, son cousin germain. Nous ignorons s'il a eu une descendance.
- Marie Ire de POURQUERY, non mariée en 1612, à l'époque du testament de son père, qui lui légua 4 000 livres, dont 2 000 payables à son mariage.
- Marie II de POURQUERY, également légataire de son père, aux mêmes conditions.

2. Charles de POURQUERY, qui a continué la descendance, et dont l'article suit.

3. Noble Louis de POURQUERY de La Bigotie, sieur de Roussille, qualifié écuyer, vicomte de La Valade, comte de LA ROQUE, ancien capitaine au régiment de Monsieur le duc de Montauzier, colonel général des ailes droites des armées françaises, et à la suite desdites armées. Chevalier des ordres du Roi et de la dernière promotion de Monseigneur de Louvois, ministre de la guerre, oncle paternel de Jean-François de POURQUERY, mentionné dans le contrat de mariage de ce dernier avec Marguerite de Vassal en 1658 (copie en papier, archives familiales consultées par nous).

Voici le texte en bon français :

40. Noble Antoine de POURQUERY, écuyer, vivant en 1598, date de la transaction citée par d'Hozier.

5º Noble Robert de POURQUERY, écuyer, a également transigé avec ses frères en 1598.

6º Jacquette de POURQUERY, demoiselle, légataire de son père pour une somme de 2,000 livres.

VI. Noble Charles de POURQUERY, écuyer, avocat à la Cour du Parlement de Bordeaux, seigneur de la terre noble de Négobie et du noble repaire de La Bigotie, où il résidait, juridiction de Montpazier (selon De Courcelles), est nommé en second dans le testament de son père, sur la succession duquel il a transigé avec ses frères et sœurs en 1598 (Manuscrit d'Hozier). De son épouse, dame Françoise de Guinet, alias de Gouzet, il eut :
1º Jean-François, dont l'article suit ;
2º Marc-Antoine de POURQUERY, mineur en 1657, décédé avant le 3 mars 1658, date à laquelle sa mère se déclarait son héritière ;
3º Noble Marc de POURQUERY, seigneur de La Bigotie, mineur en 1657, présent en 1687 au contrat de mariage de Charles II de POURQUERY, son neveu, ainsi qu'à celui de Jean-Jacques de Constantin, également son neveu, avec Marie de Savy, le 2 décembre 1692 (DE COURCELLES, art. de Constantin, p. 13).

40. Charles de POURQUERY, prieur de Couze, est mentionné dans une procuration donnée le 25 mai 1670 par Jean V de Vassal, seigneur de La Capelle et de Bastes, à son épouse, Magdeleine de LA ROQUE, dame de Bellegarde (DE COURCELLES, art. de Vassal, p. 52).

5º Catherine ou Cathie de POURQUERY, mineure lors du testament de son père, épousa le 22 mars 1661 Clinet de Constantin, écuyer, seigneur de Castelmerle, enseigne au régiment des Galères. Elle était veuve le 6 février 1699, date à laquelle elle fit enregistrer à l'Armorial Général de Guienne les armes de son défunt mari.

VII. Noble monsieur Jean-François de POURQUERY, II du nom, écuyer, seigneur de La Bigotie, habitant de la ville de Montpazier, épousa, par contrat du 5 mars 1658, demoiselle Marguerite de Vassal, fille de noble Marc de Vassal, écuyer, seigneur de La Mothe, Roumegoux et autres lieux, et de demoiselle Guilhelmine del Pech, habitants au château de Sineuil, juridiction de Villefranche, en Périgord. Dans cet acte, passé au château de Sineuil, en présence de Pierre Molenier, capitaine, et Jean Dufau, sieur de Fontenilhes, habitants de la ville de Montpazier, par Sarol et Maurial, notaires royaux (original en papier, cité ibid.), Jean-François de POURQUERY est désigné comme fils de feu Charles de POURQUERY et de dame Françoise de Guinet. Il était assisté de M. Raymond de POURQUERY, écuyer, juge royal de la ville de Montpazier ; de noble Louis de POURQUERY, sieur de Roussille, son oncle paternel ; et de maître Jean Savy, bachelier en droit, représentant dame Françoise de Guinet, mère du futur, mandatée par procuration reçue la veille par Maurial, notaire. Marguerite de Vassal, assistée de ses père et mère, de maître Étienne del Pech, prêtre, curé de Villefranche, son oncle maternel, et de demoiselle Marguerite de Vassal, sa tante paternelle, reçut en dot de son père la somme de 6,000 livres, incluant celle de 600 livres héritée de sa grand-mère maternelle, demoiselle Anne de Lart, ainsi que 2,000 livres en obligations à percevoir, notamment sur Jacques Bournazel, sieur de La Vayssière, et Charles Bournazel, sieur de La Fargue, frères. Cette dot fut reconnue sur l'ensemble des biens du futur époux, ainsi que par maître Savy en vertu de sa procuration, de sorte que dame Françoise de Guinet la récupérerait en cas de restitution, avec obligation de rendre le principal à son fils après sa majorité ou en cas de séparation.

Jean-François de POURQUERY fit son testament (original en papier, cité ibid.) le 12 juillet 1675. Il choisit sa sépulture dans l'église paroissiale de Montpazier, dans la chapelle dite des POURQUERY, dédiée à saint Martin, au tombeau de ses ancêtres ; il y mentionne sa défunte épouse et les six enfants issus de leur mariage ; il légua à chacune de ses cinq filles 5,500 livres, payables à leurs vingt-cinq ans ; institua son fils aîné, noble Charles de POURQUERY, héritier universel ; et désigna celui-ci pour recueillir le tiers de tous ses biens, conformément au contrat de mariage du 5 mars 1658, et nomma pour tuteur de ses enfants monsieur maître Charles de POURQUERY, prieur de Couze. Ce testament fut rédigé dans la maison noble de Montdonnel, paroisse de Couze, en Périgord, devant Meyronin, notaire royal, en présence de Jean du Mas, Pierre du Mas, Antoine La Vaysse, Pierre Franc, papetiers, tous habitants de Couze, et sieur Jean Besse, habitant de la paroisse de Varennes (original en papier, ibid.). Du mariage de Jean-François de POURQUERY et de Marguerite de Vassal, qui était veuve en 1670 (selon De Courcelles), sont issus :
1º Charles, dont l'article suit ;
2º Marguerite de POURQUERY, mariée par contrat du 13 août 1697 à monsieur maître Jacques Planteau, conseiller, secrétaire du Roi, maison et couronne de France, référendaire en la chancellerie près le Parlement de Bordeaux, avec qui elle vivait en 1730 ;
3º Armande de POURQUERY, présente au contrat de mariage de sa sœur aînée en 1697 (Mailhetard, notaire royal à Bergerac) ;
4º Marie de POURQUERY, demoiselle de Blanzac, mariée le 21 février 1699 à Jean de Constantin, écuyer, seigneur de La Mothe, fils de Clinet de Constantin et de Catherine de POURQUERY (DE COURCELLES, tome X, art. de Constantin, p. 17), morte à Roussille, en la paroisse de Capdrot, juridiction de Montpazier, le 26 août 1741 ;
5º Catherine de POURQUERY ;
6º Jeanne de POURQUERY, vivant demoiselles en 1675, ainsi qu'Armande, leur sœur.

VIII. Noble messire Charles de POURQUERY, II du nom, écuyer, seigneur de La Bigotie, de Péchalvès et de LA ROCHE, habitant en son noble repaire de La Bigotie, paroisse de Marsalès, juridiction de Montpazier, fut d'abord lieutenant au régiment de Poitou-Infanterie, puis nommé capitaine dans le même corps par brevet royal délivré à Versailles le 24 octobre 1692, en remplacement du capitaine Milliac du Colombier, récemment destitué (original en parchemin, ibid.). Il est qualifié conseiller du Roi et son procureur en l'Hôtel-de-Ville de Montpazier dans la déclaration de ses armoiries qu'il fournit aux commissaires vérificateurs le 12 mars 1697, et qu'il énonça : "d'azur, à l'aigle d'argent, couronnée de même, chargée sur l'estomac d'une croix pattée de gueules, accompagnée en pointe d'un porc-épic passant d'argent à dextre et d'un lion rampant d'or à senestre" (Armorial général de Guienne, Archives de l'auteur). Charles de POURQUERY fut nommé le 5 juillet 1704 à l'office de conseiller secrétaire du Roi, maison et couronne de France et de ses finances, audiencier en la chancellerie de Guienne, et obtint des lettres de survivance de cet office le 17 juillet suivant (Archives de l'auteur). On le trouve inscrit sur le rôle des revenus de la noblesse du Périgord, établi en 1712, comme habitant de Mouleydier et seigneur des domaines de Capdrot, du fief de La Bigotie, de la maison noble de LA ROQUE et de la moitié des fiefs de Mouleydier et de Saint-Cybard (Archives de l'auteur).

Léon de POURQUERY est décédé vers 1769, après avoir rédigé et ajouté un codicille à son testament le 19 décembre 1763, laissant pour héritier son fils :

- Messire François-Mathieu de POURQUERY de La Bigotie, décédé à Paris, sans enfants, le 31 décembre 1783;
- Mathieu-François, qui a assuré la descendance.

IX. Messire Mathieu-François de POURQUERY de La Bigotie, écuyer, seigneur de la baronnie de LA ROCHE (justice dépendante de la comté de Clairans, relevant du Roi à cause de sa sénéchaussée de Périgord), entra au service dès sa jeunesse. Il devint successivement cornette dans la compagnie de Linières, au régiment de cavalerie de Biron, en remplacement du sieur Boutet, le 10 octobre 1706, puis capitaine dans le même régiment, le 10 février 1744.

Il épousa, par contrat passé à Bergerac le 1er décembre 1750, Anne Planteau, sa cousine germaine, fille de Monsieur Jacques Planteau, conseiller du Roi, référendaire en la chancellerie près le Parlement de Bordeaux, et de Marguerite de POURQUERY de La Bigotie. Pour ce mariage, il dut obtenir des dispenses du Pape. Dans cet acte, reçu par Maître Mailhetard, notaire, la future épouse était assistée de Jacques, Pierre et Marie Planteau, ses frères et sœur, ainsi que de Pierre Planteau, son oncle, tous bourgeois et habitants de Bergerac. Ses parents lui constituèrent une dot de 5 000 livres.

Mathieu-François de POURQUERY rédigea son testament le 28 novembre 1745, ajoutant un codicille le 31 janvier 1744, devant le notaire royal Mazet. Dans ces actes, il désignait Maître Jacques Planteau, bourgeois de Bergerac, comme curateur de ses enfants mineurs. Il mentionnait son épouse, décédée, ainsi que son fils Léon de POURQUERY. Il légua à Marie Planteau, sa belle-sœur aînée, la somme de 400 livres et nomma son fils Léon de POURQUERY comme héritier universel. Comme ce dernier était encore en bas âge, il lui désigna pour curateur et tuteur Jacques Planteau, frère de son épouse. En cas de décès de son fils Léon, il substituait l’hôpital général de Bordeaux comme héritier.

Ce testament et ce codicille, rédigés et signés dans la maison de LA ROCHE, paroisse de Liorac, juridiction de Clairens, furent enregistrés le même jour devant les mêmes témoins et le même notaire, en présence de Pierre Javarzac, marchand habitant de La Tarneburie; Jean Coulaud, praticien habitant de La Martigne; Pierre Garrigue, marchand; Pierre Mazet, sergent royal; et Jacques Géraud, sergent, habitants de Montclard, paroisse de Saint-Georges. Les actes furent ouverts le 9 mars 1744, à la requête de Jacques Planteau, en présence de messire Léon de POURQUERY, seigneur de La Bigotie, Charles Valleton, sieur Des Granges; messire Jacques de POURQUERY, prêtre, docteur en théologie et curé de la paroisse de Liorac; et Jean de POURQUERY, sieur de La Bernardie, proches parents du défunt, selon un acte passé au village et dans la maison de LA ROCHE, devant le notaire royal Mazet.

Mathieu-François de POURQUERY laissa de son mariage :
X. Très-haut et puissant seigneur messire Léon de POURQUERY de La Bigotie, écuyer, chevalier, seigneur baron de LA ROCHE, seigneur comte de LA ROQUE, seigneur des Maurigoux, Toutifaux et autres lieux. Il fut baptisé en la paroisse de Saint-Martin de Liorac le 26 novembre 1758, en présence de Pierre de POURQUERY de Gardonne, écuyer.

Après avoir servi quelque temps dans le corps des Mousquetaires du Roi puis dans les Chevau-Légers de la garde de Sa Majesté, il fut nommé lieutenant des maréchaux de France au bailliage, département et sénéchaussée de Bergerac, fonction qu’il occupait encore en 1774. Le 15 septembre 1775, Léon de POURQUERY consentit, par procuration, une obligation de 6 500 livres en faveur d’Alexandre Marin-Cardin, bourgeois de Paris, par acte passé devant Du Breuilh, notaire royal à Bergerac. Le 25 mai 1784, il conclut avec Guillaume La Vergne, bourgeois de Mouleydier, un bail à ferme pour neuf ans de son château de LA ROQUE, moyennant un loyer annuel de 4 200 livres. Un acte du 8 novembre suivant, passé devant le notaire Gagnaire à Bergerac, révèle que Léon de POURQUERY était alors le dernier descendant mâle légitime de son nom, appelé à recueillir tous les biens de Jean de POURQUERY, son bisaïeul.

Assisté de M. Jacques Planteau de Marsalès, seigneur de La Croix-Blanche, son oncle et tuteur, ainsi que de M. Pierre Planteau, sieur de Toutifaux, de Marianne Planteau, demoiselle, ses oncle et tante, et de M. Planteau, sieur de Fumas, son cousin, Léon de POURQUERY signa, le 26 janvier 1759, les articles de son mariage avec Jeanne-Éléonore de Grenier de Montlong de Bonsol, demoiselle, fille de feu messire Élie de Grenier de Montlong, écuyer, ancien capitaine de cavalerie, et de dame Marie-Gratianne de Bonsol. La future fut assistée de sa mère, de messire Charles Grenier de Montlong, écuyer, capitaine au régiment de Normandie; de messire Guillaume Grenier de Montlong, écuyer, lieutenant au même régiment; de messire Étienne Grenier de Montlong, écuyer; ainsi que de Jeanne et Catherine-Marthe Grenier de Montlong, demoiselles, ses frères et sœurs; de messire Jean de Fontvielle, écuyer, chevalier de l'ordre royal et militaire de Saint-Louis; de M. de Thenac (Fumouze), avocat au Parlement, rapporteur du point d’honneur et maire de Bergerac. Elle se constitua en dot tous ses biens, et sa mère s'engagea à lui payer une pension de 150 livres tant qu'elle vivrait. Ces articles furent officiellement reconnus devant Perrot, notaire à Monclard, le 12 juillet 1774, et enregistrés le 24 du même mois au bureau de Montclard.

Léon de POURQUERY décéda à La Roche en 1815, ayant eu de son mariage :
1º Pierre-Charles, dont l’article suit ;
2º Messire Pierre-Charles Ier de POURQUERY de La Bigotie, né à Bergerac le 30 juin 1769, baptisé le 2 juillet suivant en présence de Pierre Planteau de Toutifaux, écuyer, seigneur du même lieu. Son parrain était Pierre-Charles de POURQUERY de La Bigotie, chevalier, et sa marraine demoiselle Marthe de POURQUERY de La Bigotie, ses frère et sœur. Il est qualifié « haut et puissant seigneur vicomte de LA ROCHE » dans son extrait baptistaire. Il épousa à Tonneins, en Agenais, le 1er février 1798, demoiselle Thérèze-Louise de Peineau, fille de feu Pierre-Jacques de Peineau, ancien procureur général de la table de marbre au Parlement de Bordeaux, et de demoiselle Pétronille de Bousquet. Il est décédé à Tonneins le 11 mai 1833, laissant de son mariage :
- A. Jean-Louis-Wulfranc-Léon-Pierre-Charles de POURQUERY de La Bigotie de LA ROCHE, né à Bordeaux le 20 juillet 1803, marié à Clairac, en Agenais, le 21 octobre 1831, à demoiselle Marthe-Zélomire Lhoumeau, dont :
- Pierre-Charles II de POURQUERY de La Bigotie de LA ROCHE, né à Clairac le 25 septembre 1832.
- B. Léon-Thérèze-Louise de POURQUERY de La Bigotie, née à Tonneins le 29 novembre 1798;
- C. Jeanne-Louise-Éléonore-Marie Charlotte de POURQUERY de La Bigotie, née à Bordeaux en 1801, décédée à Clairac le 20 mai 1853.

3º Messire Léon-Jean-Charles de POURQUERY de La Bigotie, écuyer, chevalier, né le 12 décembre 1770, baptisé le surlendemain en la paroisse Saint-Jacques de Bergerac. Il fut tenu sur les fonts par messire Léon-Jean-Charles de Carrieux, écuyer, ancien gendarme de la de Montlong. Entré au service comme garde du corps du Roi , il émigra en 1791 et se fixa en Italie ; reprit du service en France en 1814 , et devint maréchal des logis des gardes du corps du Roi , chevalier de Saint-Louis , et obtint sa retraite en 1815. Il est mort à Ferrare , le 7 avril 1849 , et avait épousé , dans cette ville , demoiselle Anne-Marie-Taddea DELLA PELLEGRINA , issue d'une ancienne et noble famille ferraraise ; et
de cette union sont provenus :

A. Eugène de POURQUERY de La Bigotie de LA ROCHE, né à Ferrare en 1809, décédé en 1835, sans avoir été marié.

B. Joconde-Marie-Thérèze de POURQUERY de La Bigotie de LA ROCHE, née à Reggio (Duché de Modène) le 10 mai 1799, mariée le 10 juillet 1824 à Antonio Brocchi, né à Reggio le 3 juillet 1794, actuellement major général en retraite des armées de Sa Majesté le Roi de Sardaigne, issu d'une noble famille de Florence et résidant à Neri, en Piémont. De ce mariage sont nés :
- Charles-Marie-Gaspard Brocchi, né à Reggio de Modène le 27 mars 1825, ingénieur civil et militaire, marié à Gênes le 8 octobre 1852 à Jenny Thompson, d'une famille anglaise, née le 8 juillet 1834, dont :
- Ferdinand Brocchi, baptisé à Gênes en 1855, actuellement à Bastia (île de Corse).
- Constance Brocchi, âgée de 3 ans.

C. Thérèze-Marie-Jeanne de POURQUERY de La Bigotie de LA ROCHE, née à Campsegret, en Périgord, le 29 septembre 1803, mariée en 1823 à Lorenzo Dossani, noble Ferrarais, dont elle est actuellement veuve.

4º Jean-François de POURQUERY de La Bigotie, dit de Marsalès, né à Bergerac le 21 novembre 1775, décédé aux Lèches, près de Mussidan, en Périgord, le 15 mai 1846. Il a laissé, de son mariage avec demoiselle Claire Bonneau :
A. Jérôme de POURQUERY de La Bigotie, né aux Lèches en 1807, décédé sans alliance en la même localité le 13 septembre 1832.
B. Eugène-Pierre de POURQUERY de La Bigotie, né aux Lèches le 22 juin 1813, résidant actuellement à Mussidan, marié le 8 février 1842 avec mademoiselle Delphine Delfau, dont il a :
- Claire de POURQUERY de La Bigotie, née aux Lèches le 13 août 1844.

5º Catherine-Marthe de POURQUERY de La Bigotie, vivante entre 1769 et 1779.

6º Élisabeth de POURQUERY de La Bigotie, décédée à Liorac, en Périgord, le 16 novembre 1851.

7º Rose de POURQUERY de La Bigotie, née le 23 février 1773, mariée à Liorac en 1795 à M. N... Guilbert de La Tour ; décédée à Liorac le 21 avril 1839.

8º Marie de POURQUERY de La Bigotie, née le 24 janvier 1774, baptisée le surlendemain en la paroisse Saint-Jacques de Bergerac.

9º Marie-Ursule de POURQUERY de La Bigotie, née le 25 février 1779, baptisée le surlendemain en l'église Saint-Jacques de Bergerac. Elle fut tenue sur les fonts baptismaux par noble Nicolas-André-Front Grenier de Montlong, écuyer, chevalier, et dame Marie-Ursule de Cajus de Grenier de Montlong.

XI. Messire Pierre-Charles de POURQUERY de La Bigotie de LA ROCHE, chevalier, seigneur, baron de LA ROCHE, seigneur des Maurigoux, naquit à Bergerac le 27 février 1764 et fut baptisé en la paroisse Saint-Jacques de cette ville le 1er mars de la même année, en présence de messire Jacques Planteau, écuyer, sieur de Marsalès, et tenu sur les fonts par messire Pierre-Charles de Grenier, écuyer, seigneur de Montlong, ancien capitaine au régiment de Normandie, et dame Marie-Louise de Vaucocourt de Carrieux (Archives de l'Hôtel de Ville de Bergerac, extrait produit). Il est qualifié d'écuyer, chevalier, marquis de LA ROQUE, le 2 juillet 1769, dans l'extrait baptistaire de son frère Pierre-Charles de POURQUERY, délivré le 2 juin 1792 par Lasserre, curé de Bergerac, dont la signature a été visée le 20 mars 1795, an II de la République française, par Jean-Marc Castaing, président du Tribunal du district de Bergerac (Extrait produit à l'auteur).

Sa Majesté ayant pourvu Pierre-Charles de POURQUERY d'une place de cadet-gentilhomme dans le régiment de Rohan-Soubise-Infanterie, commandé par le comte de Carles, son cousin, elle écrivit à ce dernier le 4 avril 1778 pour qu'il eût à faire reconnaître et recevoir en cette qualité le postulant (Lettre autographe aux mains de la famille, produite à l'auteur). Le 4 juin 1784, le curateur de Pierre-Charles de POURQUERY, messire Étienne Grenier de Montlong, écuyer, sieur de La Croix, capitaine commandant au régiment de Neustrie-Infanterie, demeurant en la ville de Bergerac, passa procuration à Jean Babiard de LA ROCHE, sieur de Roussille, pour assister à l'inventaire qui devait être fait incessamment des meubles et effets présents dans les bâtiments de Mouleydier, Saint-Aigne et autres domaines dépendant de la substitution dont Léon de POURQUERY de La Bigotie avait été grevé envers son fils aîné (Copie). Pierre-Charles épousa, le 4 octobre 1795, demoiselle Sicarie de Baffet de La Mothe, fille de feu messire Antoine de Baffet, sieur de La Mothe, garde-du-corps du roi Louis XV, chevalier de Saint-Louis, et de Reine-Victoire Le Caron de Beaumesnil. Il est décédé à Paris le 22 février 1816, ayant eu de son mariage :
1º Claude-Antoine, qui suit.
2º Demoiselle Victoire de POURQUERY de La Bigotie de LA ROCHE, épouse de Victor de Lascous, capitaine des grenadiers à cheval de la garde royale, chevalier de la Légion d'Honneur, décédée à Trélissac en novembre 1848, mère de :
- Léon de Lascous, lieutenant au 10e régiment de cuirassiers, âgé de 26 ans.
- Gustave de Lascous, maréchal des logis chef au même régiment, âgé de 20 ans.

XII. Claude-Antoine, comte de POURQUERY de La Bigotie de LA ROCHE, chef du nom et des armes de sa maison, né à Trélissac, près Périgueux, le 27 juin 1799, a relevé les titres de son aïeul paternel. Il s'est marié à Coulonges-sur-l'Autize, en Poitou, le 19 juillet 1826 avec mademoiselle Marie-Émilie Guiotton, et s'est fixé depuis à Niort, où il réside actuellement. De son mariage sont nés :
1º Antoine-Sicaire-Victor de POURQUERY de La Bigotie de LA ROCHE, né à Coulonges-sur-l'Autize, le 10 juillet 1827, décédé au même lieu le 5 septembre 1849.
2º Anne-Émilie de POURQUERY de La Bigotie de LA ROCHE, née à Coulonges-sur-l'Autize.
3º Marie-Léontine de POURQUERY de La Bigotie de LA ROCHE, née à Conty, en Picardie.

NOTA : On trouve également, à différentes époques :
- Étienne de POURQUERY, sieur de La Caserie, présent au mariage de Marie Savy avec Jean-Jacques de Constantin, le 2 décembre 1692 (De Courcelles).
- Pierre de POURQUERY de Gardonne, écuyer, demeurant à Liorac, inscrit sur les rôles de la capitation des gentilshommes pour l'année 1750 (Archives de l'auteur), élu capitoul de Toulouse en 1747. Il pourrait être le même que Pierre de POURQUERY, qui eut de Marie de La Vergne :
- Marc de POURQUERY, chevalier de Saint-Louis, ancien capitaine au régiment de Périgord, marié à Paris au mois de mai 1758 à demoiselle Anne Ashode (Titre original aux archives du collège Hérald).

Nous ignorons complètement l'origine de la branche de POURQUERY de LA ROCHE, fondue dans celle de La Bigotie en 1687, et qui portait, comme nous l'avons indiqué, d'azur, à la hure de sanglier d'argent. Les seuls renseignements que nous avons pu recueillir à son sujet sont les suivants :

I. David POURQUERY, avocat et juge des terres de Biron et Clairens, eut de demoiselle Catherine Lartigue, son épouse, originaire de Bordeaux :

II. Sieur Pierre POURQUERY, marié par contrat du 1er juin 1615, signé par Dunugou, notaire royal à Bergerac, à demoiselle Jeanne Montfayon de Montfayon, originaire de Bordeaux. Devenue veuve, elle rédigea son testament le 20 juillet 1663, au village de LA ROCHE, paroisse de Liorac. Par cet acte, elle stipule que, si ses deux fils venaient à décéder sans hoirs légitimes ou enfants mâles, ses biens seraient transmis aux enfants de son fils aîné, de manière graduelle et perpétuelle. Si cette transmission ne pouvait avoir lieu, la descendance de son fils cadet serait habilitée à recueillir le fidéicommis. Elle précise également que, dans le cas où cette branche serait éteinte, la descendance de Guillaume POURQUERY-La Bernardie serait habilitée à recueillir le fidéicommis, souhaitant ainsi conserver les biens dans sa descendance directe, selon les coutumes en vigueur en Saintonge, et interdisant toute aliénation ou distraction de la "quarte tubellianique" (Original chez Fonsegrive, notaire). Ses enfants étaient :
1º Jean de POURQUERY (noble), seigneur de LA ROCHE et en partie de la paroisse de Saint-Cybard, marié à damoiselle Jeanne de Martin, qui lui donna pour enfants :
A. Dame Marie de POURQUERY de LA ROCHE, mariée à Charles de POURQUERY en 1687.
B. Dame Anne de POURQUERY, épouse de messire Antoine de Losse, seigneur de Bayac.
C. Dame Marque de POURQUERY, épouse de messire Hélie de Chillaud, écuyer, demeurant à Saint-Martin de Bergerac en 1712, époque à laquelle elle était veuve (État des revenus de la noblesse du Périgord, Archives de l'auteur).
2º Pierre POURQUERY de La Bernardie.

À la même époque, vivait également Pierre de POURQUERY, sieur de La Mailholle, habitant de la paroisse de Liorac, qui vendit, le 17 avril 1661, une pièce de bois située dans cette paroisse à Jean de POURQUERY de LA ROCHE. Il se dit fils de Pierre de POURQUERY, veuf de Catherine de Chemillac, fille de feu Jérôme de Chemillac, et agit tant pour lui que pour ses frères.

Sources:
- Nobiliaire de Guienne et de Gascogne, …, antérieures à 1789, vol.1, par M. O'Gilvy, 1856.



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