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BRIDOU

BRIDOU_Île-de-France._France (2)

BRIDOU

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DESCRIPTION

BRIDOU
Île-de-France
France

BRIDOU, ancienne famille noble de France.

Armoiries :
" D'azur, au chevron brisé d'or, accompagné en chef de deux fleurs de lys du même, et en pointe d'un mouton d'argent. "

Sources :
- Nobiliaire universel de France... par M. de Saint-Allais (Nicolas Viton), 1815.

Autres documents héraldiques :

- Pierre BRIDOU, procureur au Parlement en 1696, Bailli de Villeneuve-le-Roi et Ablon en 1726.
" D'azur, au chevron d'argent accompagné en pointe d'une brebis passant de même, et deux molettes d'or en chef. "

- Arnoud BRIDOU, ancien chanoine de l'église cathédrale d'Arras à la fin du XVIIe s.
" D'azur, au chevron d'argent accompagné en pointe d'une brebis passant de même. "

Sources :
- Armorial de la Généralité de Paris dressé par Charles d'Hozier en exécution de l'édit de novembre 1696, par Meurgey de Tupigny, 1965-67.

- Note historique sur Pierre BRIDOU :
...... vu l'expédition d'une Sentence rendue par M. Pierre BRIDOU, Procureur au Parlement, alors Bailli desdites Villeneuve-le-Roi et Ablon, le 14 janvier 1726, sur la Requête à lui présentée par Pierre Gibert, alors Marguillier en charge de ladite Chapelle d'Ablon, laquelle Sentence homologue une Délibération desdits Habitants d'Ablon du 6 dudit mois de janvier, pour être exécutée selon sa forme et teneur, ordonne que ledit Gibert et ses Successeurs Marguilliers en charge de l'Église dudit Ablon fourniront seuls, et à l'exclusion de tous autres, les planches nécessaires pour la décharge des marchandises de vin et autres, arrivant au Port dudit Ablon, et pour la décharge ....
Sources : - Ablon-sur-Seine, recherches historiques ..., par Pierre Bonnin, 1890.
(Ablon-sur-Seine, anciennement Ablon, aussi orthographié Ablons, est une commune française située dans le département du Val-de-Marne en région Île-de-France.
L'ancienne province correspondant à l'actuel Val-de-Marne sous la monarchie était principalement la province de l'Île-de-France. Cependant, certaines parties de ce territoire appartenaient aussi aux provinces de la Brie et du Hurepoix.)

Étymologie :
Le suffixe "-ou" est souvent utilisé dans les noms de famille français comme un diminutif ou pour indiquer une forme affectueuse. "BRIDOU" pourrait donc être une forme familière ou diminutive d'un autre nom.
"BRIDOU" pourrait être une variation ou une déformation d’un autre nom de famille plus courant. Par exemple, il pourrait s’agir d'une altération du nom "Brideau" ou "Bridault", où "Brid-" pourrait venir de "bride" (une pièce de harnais pour les chevaux) indiquant un lien avec le travail équestre ou les métiers liés aux chevaux.

Toponyme :
- BRIDOU, nom d'un ancien fief seigneurial, des chevaliers et barons Moreau de Bellaing, originaire de la Hesbaye, à l'époque de la Révolution.

Personnalités dans l'histoire :
- Raoul BRIDOU, cité à Paris sur le livre de la taille de Paris, Paroisse Saint-Sauveur, Porte Saint-Denis, en 1284.
- Isabeau BRIDOU, épouse de Pierre Le Fayel, citée sur un acte devant notaire de Rouen le 1er juillet 1550.
- Guillaume BRIDOU, perruquier célèbre de l'Électeur de Brandebourg, originaire de Paris, protestant, réfugié avec sa fille à Berlin dans les années 1698.
- Pierre BRIDOU d'Amiens, protestant, s'était retiré en Hollande et de là était allé dans les Indes. (La France protestante: ou Vies des protestants français qui se sont fait un nom dans l'histoire depuis les premiers temps de la Réformation jusqu'à la reconnaissance du principe de la liberté des cultes par l'Assemblée nationale, par MM. Haag, 1846-1859.)
- A. BRIDOUX, artiste graveur, connu pour une superbe épreuve du roi Louis-Philippe I, d'après Winterhalter. (Catalogue d'une belle collection d'estampes, par de Vereeniging, A.G. de Visser, 1868.)
- Épiphane BRIDOU, né en 1878, décédé ?, ouvrier de tannerie.

Note historique et biographique :
- 1660. Déclaration à l'abbé de Neaufle par Pierre BRIDOU, écuyer, seigneur censier dans le village de Galluis (Titres de l'abbaye de Neaufle).
Pierre BRIDOU, écuyer, doyen des trente-six gentilshommes ordinaires de la chambre du roi, marguillier honoraire de l'église Saint-Pierre de Montfort. Il mourut le 17 décembre 1722, à l'âge de 82 ans. De Madeleine Macqueron, il eut Pierre-Denis, né en 1666, qui suit, et Marie, née en 1665, mariée à Jacques Le Clerc, écuyer, gentilhomme de Madame de Montpensier; morte veuve à 74 ans, le 26 août 1739.
Pierre-Denis BRIDOU, écuyer, sieur de Mignon, gentilhomme servant ordinaire du roi, se dit parfois sieur du fief de Mignon à Galluis, ou seigneur censif et patron de l'école dans le village de Galluis. Il est en effet à l'origine d'une fondation importante en faveur de cette école. De Marie-Louise-Aimée de Noircourt, femme de chambre de la défunte reine d'Espagne, il eut huit enfants, tous morts jeunes, sauf deux : Madeleine, née en 1696, mariée d'abord à 47 ans, en 1742, à Eustache-Jean d'Article, âgé de 65 ans et mort en 1746 ; puis, en 1755, à 59 ans, à Paul Le Lorrain, écuyer, âgé de 34 ans. Elle mourut le 18 juillet 1762. Louis-Joseph, né le 24 décembre 1703, était en 1734 abbé commendataire de l'abbaye de Selle ; il se dit en 1732 et 1746 écuyer, seigneur de Belleville. Il assiste le 23 décembre 1746 à l'inhumation, à Montfort, de son père, mort à l'âge de 80 ans (Titres du château de Galluis).
Les BRIDOU dans l'histoire de la France protestante :

Branche protestante:
Les notes de Dieterici indiquent : « Marie, veuve de Guillaume BRIDOU, de Paris, perruquier, réfugiée avec une fille à Berlin, 1698 » ; et Jean, passementier à Paris (3 personnes) idem 1700. (Charles) religionnaire fugitif d'Amiens, 1686 (TT 235). - Note de la Bourse française de Genève : « Pierre BRIDOU, d'Amiens, qui s'était retiré en Hollande et de là était allé pour trafiquer dans les Indes, ayant été, à son retour, naufragé sur les côtes du Portugal, un vaisseau de cette nation l'a ramené en France où il a été dépouillé de tout. Assisté d'habits et d'un écu pour aller rejoindre sa famille en Hollande », 1700 ; assisté d'un viatique de 7 florins pour le Brandebourg, 1702.
(La France protestante, vol.3, par Eugène Haag, Émile Haag, 1877.)



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