DESCRIPTION
Friesland (Stamboek van den Frieschen, 1846, Nederland)
Van BEYMA thoe KINGMA ! Que dire sur Van BEYMA thoe KINGMA ?
« Au temps qui détruit tout, l'homme répond par l'image »
Van BEYMA thoe KINGMA est un nom qui s’accompagne d’un blason.
Origine du blason " Van BEYMA thoe KINGMA " : " Friesland (Stamboek van den Frieschen, 1846), Nederland "
Sont-ils tous descendants d’un ancêtre commun qui s’appelait Van BEYMA thoe KINGMA.
L’origine du nom de famille Van BEYMA thoe KINGMA n’est pas une personnification du hasard.
A la vérité, les Van BEYMA thoe KINGMA ont, eux aussi, écrit l’histoire, à l’ombre de grands personnages.
Et, les armoiries Van BEYMA thoe KINGMA ne suffisent pas à expliquer les raisons de votre curiosité.
Toutes images « Van BEYMA thoe KINGMA », dans l’écoulement du temps, symbolisent la permanence des Van BEYMA thoe KINGMA dans l’Histoire.
Le sceau des Van BEYMA thoe KINGMA scelle ainsi, la charte de la position « mortel immortel » de cette famille ?...
Héraldique Van BEYMA thoe KINGMA.
Un désastreux préjugé hérité de la Révolution, laissa penser que les armoiries étaient l’apanage de la noblesse.
Les nobles ne furent pas les seuls à posséder leurs blasons.
Les Etats, les villes, les provinces, les corporations, les ecclésiastiques, les laïques, les roturiers, etc. eurent leurs armoiries.
De nos jours, toute personne qui le désire, peut porter et arborer un blason.
Trop souvent, l’héraldique est considérée comme une discipline dominée des prétentions nobiliaires.
En fait, le blason permet d’identifier une famille, une personne.
Donner un « état civil » à de nombreux objets : œuvre d’art, antiquités,vaisselles, livres, etc., tout en les datant.
Van BEYMA thoe KINGMA « Droit d’images ».
Chacun peut découvrir que son nom a laissé un « droit d’images » qui nous vient de l’Antiquité.
On nommait ainsi, en droit romain, le privilège par les patriciens seuls d’exposer,
sous l’atrium de leur maison, leur propre image et celles de leurs ancêtres.
Dans certains cas, on brisait les images de ses ancêtres et on les jetait à terre pour les fouler aux pieds.
C’est ce que l’on fit plus tard avec tous les blasons et armoiries de France pendant la Révolution de 1789.
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