DESCRIPTION
MOURARET DE MALET
Vivarais
(Figure au ban en 1635 et 1695)
Armoiries :
« D'azur, au chevron d'or, accompagné de trois roses d'argent. »
Sources :
Armorial Général de Charles d'Hozier, élection de Montpellier, 1696-1710
Benoît d'Entreveaux, Armorial du Vivarais, de Privas 1908.
Le Grand Armorial de France (Jougla de Morénas 1935-1943, de Warren, Frantzen 1960).
Note :
MOURARET DE MALET
Jean de Malet, seigneur de Belvèze, fit enregistrer ses armes en 1696.
Jean de Mouraret, sieur de Malet, coseigneur de Tauriès, de la ville de Largentière, lors des recherches contre les usurpateurs des titres de noblesse produisit des pièces sur lesquelles figuraient les noms de noble Antoine de Mouraret, fils de noble Louis, (Bernard, notaire de Largentière 22 juillet 1558).
Noble Antoine vivait en 1554.
Noble Louis Malet, passa une reconnaissance en 1511.
Noble Guillaume Malet passa plusieurs reconnaissances en 1396.
A la requête de noble Etienne de Mouraret, le 7 février 1563, fut dressé l’inventaire des biens de Noble Antoine de Mouraret son père. .
Noble Jean de Mouraret est dit fils de noble Etienne en 1631.
Noble Jean de Mouraret, sieur de Mallet fit son testament, le 12 octobre 1659, dans lequel il nomme Pierre, son fils.
Messieurs de Tournon et de Montfrin certifient le service du sieur de Mouraret au ban et arrière ban en 1635 et 1695.
Jean de Mouraret, sieur de La Belvèze fut condamné par défaut, le 12 octobre 1698. (Bibliothèque nationale manuscrit français 32557 et 32293).
Nous trouvons de nombreux actes sur la famille de Mouraret.
Nicolas Moraret habitait Largentière en 1560.
Le 6 mai 1720. Marie de Mouraret de Belvèze, fille de Jean de Mouraret, sieur de Malet, coseigneur des lieux de Tauriers et Chalabrèges, de la ville de Largentière et de Madeleine de Mazade du Martinent de La Vernade, petite fille de Jean de Mouraret, seigneur de Malet et arrière petite fille d’Etienne de Mouraret et de Catherine de Rocher du Prat, épousa Jean de Rocher.
Madeleine de Mazade était fille de feu sieur Michel et de demoiselle Gabrielle du Hautvillar, du lieu des Chassiers.
Jean Mouraret, sieur de Malet, consul de Largentière assista aux Etats du Langt à Pézénas en 1631.
Louis de Comte, coseigneur de Saint-Montan acheta, le 28 septembre 1691, de la famille de Mouraret de Malet les terres et seigneuries de Tauriers et Chalabrèges.
C’est sous réserves que nous citons la note suivante
« Sieur Joachim Malet, sieur de la Chabreyre, fils d’autre Joachim et de feue demoiselle Jacqueline Picaut, du lieu de Marcols, mandement de Mézilhac, eut de demoiselle Suzanne de Lapize, fille de M. M. Paul, docteur en droit, châtelain de la Chièze et Salavon, juge de Burianne et de feue damoiselle Jeanne Duchon, de la ville du Cheylard.
M. Pierre Malet qui épousa, le 22 novembre 1707, Jeanne de Badel, fille à feu noble Simon-Pierre de Badel et de Eléonore de Vergèze d’Aubussargues. » (Archives de Chomérac).
Voir : Armorial de 1696. — Bibliothèque nationale Ms. fr. 32293, 32557. — Revue du Vivarais : table. — R. de Gigord. — Archives départementales : inventaire. — Archives de Chomérac, registres paroissiaux. — Archives départementales : inventaire.
MOURARET de MALET ! Que dire sur MOURARET de MALET ?
« Au temps qui détruit tout, l'homme répond par l'image »
MOURARET de MALET est un nom qui s’accompagne d’un blason.
Origine du blason " MOURARET de MALET " : " Languedoc, France "
Sont-ils tous descendants d’un ancêtre commun qui s’appelait MOURARET de MALET.
L’origine du nom de famille MOURARET de MALET n’est pas une personnification du hasard.
A la vérité, les MOURARET de MALET ont, eux aussi, écrit l’histoire, à l’ombre de grands personnages.
Et, les armoiries MOURARET de MALET ne suffisent pas à expliquer les raisons de votre curiosité.
Toutes images « MOURARET de MALET », dans l’écoulement du temps, symbolisent la permanence des MOURARET de MALET dans l’Histoire.
Le sceau des MOURARET de MALET scelle ainsi, la charte de la position « mortel immortel » de cette famille ?...
Héraldique MOURARET de MALET.
Un désastreux préjugé hérité de la Révolution, laissa penser que les armoiries étaient l’apanage de la noblesse.
Les nobles ne furent pas les seuls à posséder leurs blasons.
Les Etats, les villes, les provinces, les corporations, les ecclésiastiques, les laïques, les roturiers, etc. eurent leurs armoiries.
De nos jours, toute personne qui le désire, peut porter et arborer un blason.
Trop souvent, l’héraldique est considérée comme une discipline dominée des prétentions nobiliaires.
En fait, le blason permet d’identifier une famille, une personne.
Donner un « état civil » à de nombreux objets : œuvre d’art, antiquités,vaisselles, livres, etc., tout en les datant.
MOURARET de MALET « Droit d’images ».
Chacun peut découvrir que son nom a laissé un « droit d’images » qui nous vient de l’Antiquité.
On nommait ainsi, en droit romain, le privilège par les patriciens seuls d’exposer,
sous l’atrium de leur maison, leur propre image et celles de leurs ancêtres.
Dans certains cas, on brisait les images de ses ancêtres et on les jetait à terre pour les fouler aux pieds.
C’est ce que l’on fit plus tard avec tous les blasons et armoiries de France pendant la Révolution de 1789.
SHARE ON SOCIAL NETWORKS
OPINIONS
There are no notes at this time. Be the first to rate!
GIVE A NOTE