DESCRIPTION
GAST
Marmand (Canton de Vaud)
Suisse
Armoiries :
"De sinople au pélerin vêtu d'argent, portant une besace d'or, et tenant un bourdon du même. " (1973).
Notes:
GAST (HÔTE) qui loge dans une hôtelerie.
Cependant, c'est en Alsace que le patronyme Gast est le plus fréquent, et son sens y est tout différent : il signifie sans doute "l'étranger" (allemand Gast = hôte, voyageur, étranger).
On trouve avec le même sens le dérivé Gaster."
GAST, Ruine, ravage (vastalio), gaster. Gas, gabs, gaz ; geai, oiseau, risée, plaisenterie; de gavisus, gaber.
Note :
Gast (Gastlosen) Nom de lieu dans les environs de Vallorbe (Canton de Vaud).
Gast, chroniqueur suisse, un homme des plus hostiles aux tendances anabaptistes.
GAST, Johannes, de Brissach, diacre (diaconus) à Sarnt-Martin à Bâle 1528-1552, aide d’Œcolompade, fut déposé en mars 1545 par le Conseil pour avoir en-voyé huit ans auparavant une lettre à Genève dans laquelle il critiquait inconsidérément et avec vigueur l’eglise de Bâle.
Toutefois il fut bientôt grâcié.
Ses ouvrages de théologie, presque tous imprimés à Bêle, sont pour la plupart des éditions d’auteurs anciens ou de l’époque de la Réformation.
Son principal travail historique est le "De anabaptismi exordio, erroribus," etc., 1544, traité contre les anabaptistes.
Ses "Tischreden" (3 vol., 1547) parurent en plusieurs éditions.
Il a laissé un journal (Diarium), dont un extrait existe encore, copié, de 1605 à 1607, par le pasteur bâlois Tryphius. Il comprend les années 1531 (janvier-octobre), 1545, 1546, 1548, 1551 et 1552 (janvier-juillet) (guerres de Cappel, de Smalkalde et période intermédiaire).
Gast était en correspondance suivie avec des théologiens suisses et allemands (correspondance avec Bullinger aux Arch. d’Etat de Zunich), qu’il renseigne sur la situation intérieure de Bâle et sur les événements politiques et religieux d’Allemagne en été 1552, probablement de la peste. [ Paul BURCKHARDT.]
(Dictionnaire Historique et Biographique de la Suisse.)
Popularité du Nom GAST en Suisse
Suisse
Bern, Berne (119)
Freiburg, Fribourg (105)
Valais, Wallis (97)
Geneve, Geneva, Genf (65)
Neuchatel, Neuenburg (62)
Basel, Basle {Basel Stadt, Basel Land} (54)
Vaud, Waadt (49)
Zurich (18)
Thurgau (13)
Solothurn (7)
Luzern, Lucerne (5)
Sankt Gallen, Saint Gall (3)
Aargau (2)
Graubunden, Grisons (2)
Jura (1)
Schaffhausen (1)
Schwyz (1)
(geneanet)
Généralités :
GAST ! Que dire sur GAST ?
« Au temps qui détruit tout, l'homme répond par l'image »
GAST est un nom qui s’accompagne d’un blason.
Origine du blason " GAST " : " Marmand. Vaud., Schweiz Suisse Svizzera Swit "
Sont-ils tous descendants d’un ancêtre commun qui s’appelait GAST.
L’origine du nom de famille GAST n’est pas une personnification du hasard.
A la vérité, les GAST ont, eux aussi, écrit l’histoire, à l’ombre de grands personnages.
Et, les armoiries GAST ne suffisent pas à expliquer les raisons de votre curiosité.
Toutes images « GAST », dans l’écoulement du temps, symbolisent la permanence des GAST dans l’Histoire.
Le sceau des GAST scelle ainsi, la charte de la position « mortel immortel » de cette famille ?...
Héraldique GAST.
Un désastreux préjugé hérité de la Révolution, laissa penser que les armoiries étaient l’apanage de la noblesse.
Les nobles ne furent pas les seuls à posséder leurs blasons.
Les Etats, les villes, les provinces, les corporations, les ecclésiastiques, les laïques, les roturiers, etc. eurent leurs armoiries.
De nos jours, toute personne qui le désire, peut porter et arborer un blason.
Trop souvent, l’héraldique est considérée comme une discipline dominée des prétentions nobiliaires.
En fait, le blason permet d’identifier une famille, une personne.
Donner un « état civil » à de nombreux objets : œuvre d’art, antiquités,vaisselles, livres, etc., tout en les datant.
GAST « Droit d’images ».
Chacun peut découvrir que son nom a laissé un « droit d’images » qui nous vient de l’Antiquité.
On nommait ainsi, en droit romain, le privilège par les patriciens seuls d’exposer,
sous l’atrium de leur maison, leur propre image et celles de leurs ancêtres.
Dans certains cas, on brisait les images de ses ancêtres et on les jetait à terre pour les fouler aux pieds.
C’est ce que l’on fit plus tard avec tous les blasons et armoiries de France pendant la Révolution de 1789.
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