DESCRIPTION
CROSINA
Barons
Origine Trento (Kaisertum Österreich)
Italia Österreich
Barons Crosina
Armoiries :
" Écartelé: aux 1 et 4, d'azur, à un tronc d'arbre coupé, au naturel, en pal, sommé d'une croisette pattée de gueules et senestré d'un rameau de laurier de sinople, en pal, le tout soutenu d'une terrasse de sinople; aux 2 et 3, de gueules, à la fasce d'argent, accompagné de trois boules du même. Sur le tout un écusson d'or, couronné du même et chargé d'une aigle éployée de sable. "
Trois casques couronnés.
Cimiers: 1° les meubles du 1;
2° l'aigle éployée, chaque tête diadémée d'or;
3° cinq plumes d'autruche, alternativement de gueules et d'argent, entre deux proboscides coupées alternativement d'or et de sable.
Lambrequin: à dextre d'argent et de gueules, à senestre d'or et d'azur.
Sources :
- Johann Siemachers grosses WAPPEN-BUCH … Supplement, Nürnberg, Johann Siebmacher • 1777
- Armorial d'Europe par J.B.Rietstap (Gouda, 1884, Berlin, 1934) (Gouda, 1887, Berlin 1937).
- Armorial général J.B. Rietstap illustré par Victor et Henri Rolland (1903-1926). Colorisé par Lionel Sandoz (1993-2002).
Remarques :
* Guide du voyageur de la ville et des environs de Trente, 1837.
- Orphelinat masculin, ou Crosina par le fondateur Baron Crosina, Contrada delle orfane N. 547. Il est sous la direction d'un prêtre, qui porte le titre de Recteur, et d'un gardien. En règle générale, les orphelins sont éduqués dans un art; certains, cependant, peuvent fréquenter les écoles, selon les différentes fondations qui ont succédé à celle du baron Crosina.
- Orphelinat pour femmes, Contrada delle orfane N. 547 sous la direction immédiate d'un supérieur et de deux enseignants. Ils existent depuis sept ans et sont entretenus tant qu'ils peuvent se permettre eux-mêmes l'entretien.
* Archives historiques du Trentin (unité d'archives, 1848-1875).
- "Affaire Crosina. Actes relatifs à leur location à Alessandro Ottavio Turrini", 1849-1875.
- "Ouverture de concours pour remplacer les places vacantes dans l'orphelinat de Crosina", 1848-1855.
- "Ouverture du concours pour le remplacement d'un élève à l'orphelinat Crosina".
- "Crosina, élève d'Antonio Merzi. Son stage chez le menuisier Domenico Dallaporta"
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Généralités :
Crosina ( Bons. ) ! Que dire sur Crosina ( Bons. ) ?
« Au temps qui détruit tout, l'homme répond par l'image » (Michel Tournier)
« Crosina ( Bons. ) est un nom qui s’accompagne d’un blason » ( , )
Sont-ils tous descendants d’un ancêtre commun qui s’appelait Crosina ( Bons. ).
L’origine du nom de famille Crosina ( Bons. ) n’est pas une personnification du hasard.
A la vérité, les Crosina ( Bons. ) ont, eux aussi, écrit l’histoire, à l’ombre de grands personnages ; et les armoiries Crosina ( Bons. ) ne suffisent pas à expliquer les raisons de votre curiosité.
Toutes images « Crosina ( Bons. ) », dans l’écoulement du temps, symbolisent la permanence des Crosina ( Bons. ) dans l’Histoire.
Le sceau des Crosina ( Bons. ) scelle ainsi, la charte de la position « mortel immortel » de cette famille ?...
Héraldique Crosina ( Bons. ).
Un désastreux préjugé hérité de la Révolution, laissa penser que les armoiries étaient l’apanage de la noblesse.
Les nobles ne furent pas les seuls à posséder leurs blasons.
Les Etats, les villes, les provinces, les corporations, les ecclésiastiques, les laïques, les roturiers, etc. eurent leurs armoiries.
De nos jours, toute personne qui le désire, peut porter et arborer un blason.
Trop souvent, l’héraldique est considérée comme une discipline dominée soit par des prétentions nobiliaires, soit par des préoccupations symboliques ou ésotériques, soit par l’effet « bling bling ».
En fait, le blason permet d’identifier une famille, une personne ; en outre de donner un « état civil » à de nombreux objets : œuvre d’art, antiquités, vaisselles, livres, etc., tout en les datant.
Crosina ( Bons. ) « Droit d’images ».
Chacun peut découvrir que son nom a laissé un « droit d’images » qui nous vient de l’Antiquité.
On nommait ainsi, en droit romain, le privilège possédé, à l’origine, par les patriciens seuls d’exposer, sous l’atrium de leur maison, leur propre image et celles de leurs ancêtres.
Dans certains cas, on brisait les images de ses ancêtres et on les jetait à terre pour les fouler aux pieds.
C’est ce que l’on fit plus tard pour les armoiries des nobles pendant la Révolution Française.
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