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CUREAU

CUREAU_Le Mans_France (1)

CUREAU

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DESCRIPTION

CUREAU
Le Mans
Haut-Maine
France

- Cureau, seigneurs de la Chambre, à St-Jean d’Assé (Sarthe).
- Charles-Dominique Cureau, marchand, titulaire, échevin du Mans en 1737. (Armorial des échevins du Mans).

Armoiries :
" D'azur, au chevron d'or, accompagné en chef de deux flammes de ..., et en pointe d'un écureuil de … "
alias:
" D'azur, au chevron d'or, accompagné de deux flammes de même en chef, et d'un écureuil aussi d'or, en pointe. " (Cureau de La Chambre).

Sources héraldiques :
Essai sur l'armorial de l'ancien diocèse du Mans, par Armand de Maude, 1865.
Armorial général d’Europe, par J.B. Rietstap (Gouda, 1861).
Armorial d'Europe par J.B. Rietstap (Gouda, 1884, Berlin, 1934) (Gouda, 1887, Berlin 1937).
Armorial général J.B. Rietstap, illustré par Victor et Henri Rolland (19031926). Colorisé par Lionel Sandoz (19932002).
Le Grand Armorial de France, par Jougla de Morénas 19351943, de Warren, Frantzen 1960.

Autres armoiries CUREAU :
- Louis CUREAU, prêtre, curé de Conflans: " De sable à une écrevisse d’or. " (Armorial de la Sarthe, d'Hozier,
- Pierre CUREAU, marchand bourgeois de la ville du Lude : " D’argent à un pal de sinople, écartelé de sinople à une barre d'argent. "
(Armorial de la Sarthe, extrait de l'"Armorial général de France" dressé en 1696 par Charles-René d'Hozier, juge d'armes de France et généalogiste de la Maison du Roi par René Chassin Du Guerny, 1942.).
- Lazarre CUREAU, notaire royal à Châtelgirard: "D’argent, à un coeur enflammé de gueules, et deux étoiles de même, posées en chef.".

Patrimoine du Maine-et-Loire :
Cheminées (les), ferme, commune du Vieil-Baugé, ancien fief et seigneurie relevant de Léchigné, acquis en 1641 auprès des héritiers d'Anceau Seiller, par noble homme Jean Pasqueraie, avocat au Présidial et revendu en 1654 à Noël Cureau par noble homme Mathieu Pasqueraie, conseiller aumônier du roi, curé d'Andart; appartenait à l'Hôtel-Dieu de Baugé en 1790 (E 534-535).

Note historique et biographique :
CUREAU de la CHAMBRE et de ROULLÉE
CUREAU seigneurs de la Chambre, à St-Jean d’Assé, Roullée, Garenne et Boirnebos, à Roullée, de Chapeau, à Neuville-sur-Sarthie, etc., au Maine ; — Comtes CUREAU de ROULLÉE.
Famille du Maine dont les membres au XVIIe siècle exerçaient principalement les professions de médècin et d’apothicaire.
On peut établir la filiation des Cureau de la Chambre depuis Marin I. Cureau, sgr de la Chambre, de St-Jean-d’Assé, marié en 1595 à N.-D.-des-Champs, proche St-Jean avec Anne Malet.
Leur fils, Marin II., sgr de la Chambre, écuyer, d’abord médecin au Mans, devint conseiller du Roi en ses conseils, et médecin ordinaire de Louis XIV (1646). Il fut l’un des quarante membres de l’Académie Française lors de sa fondation, en 1645, puis membre de l’Académie des Sciences, en 1666. Il reçut des lettres de noblesse le 19 novembre 1669. Marié au Mans, en 1629, à Marie Duchesne, il est le père de Pierre Cureau la Chambre, curé de St-Barthélemy, à Paris, conseiller-aumônier chapelain du Conseil d’Etat, qui entra à l’Académie Française en 1670.

Addition à la note historique et biographique :
Le célèbre CUREAU seigneur de la CHAMBRE, premier médecin ordinaire de Louis XIII.
CUREAU de la CHAMBRE et Descartes avaient eu beaucoup de peine à faire accepter leurs traités scientifiques en français , et le premier avait rompu des lances à ce sujet dès l'année 1632 en tête de son livre sur "la Digestion" à l'Académie on se partageait en deux camps pour savoir si on composerait en français ou en latin les inscriptions des arcs de triomphe élevés au Roi , et celles des tableaux commémoratifs des galeries de Versailles. (Deux Cureau de la Chambre. Le Mans, Pellichat, 1877.) (Revue historique nobiliaire et biographique, vol.15, 1878.).
- Marin CUREAU de la CHAMBRE, né à Saint-Jean-d'Assé en 1594 et mort à Paris le 29 novembre 1669, un médecin et philosophe français, conseiller et médecin de Louis XIV.

Étymologie du patronyme :
Le nom de famille "Cureau" est d'origine française.
Il est courant que les noms de famille en France aient une origine toponymique, c'est-à-dire qu'ils dérivent d'un lieu. Le nom "Cureau" pourrait ainsi être lié à un lieu-dit pour identifier les personnes en relation avec un endroit particulier comme :
LE GUÉ CUREAU, lieu-dit sur la commune de Ségrie (Sarthe).
CUREAU, lieu-dit sur la commune de Salles (Lot-et-Garonne).
LE CUREAU, lieu-dit sur la commune de Maisse (Essonne).
LE GRAND CUREAU, lieu-dit sur la commune de Marigny-le-Cahouët (Côte-d'Or).
LE SENTIER DU CUREAU, lieu-dit sur la commune de Grimault (Yonne).
Il est également possible que "CUREAU" soit formé à partir d'un nom de base, avec l'ajout d'un suffixe augmentatif ou diminutif "-eau". Ce genre de formation était courant dans la langue française médiévale et pourrait indiquer une petite ou jeune version de quelque chose.

Étymologiques du nom commun :
- Cûrai (« doigtier. Ne se dit guère que des doigtiers en cuir »). D'après le Dictionnaire de Richelet. Comparé au mot dialectal de la région de Bayeux, curot (peutêtre dérivé de CUREAU ? ) : emplâtre. C'est probablement le même mot que Cûrai, terme de minéralogie (cuir qui entoure le piston d'une pompe). De cûr (cuir).
En résumé :
Cûrai se réfère à un doigtier en cuir, principalement utilisé dans un contexte spécifique.
Le mot est comparé à curot, utilisé à Bayeux, signifiant probablement "emplâtre".
Cûrai pourrait aussi se référer à un terme de minéralogie, désignant le cuir entourant le piston d'une pompe.
L'origine du mot cûrai est le mot cûr signifiant "cuir".
- Mailleau. féminin masculin. Petit instrument de bois en forme de maillet, qui sert aux tondeurs de draps pour faire mouvoir celui des deux couteaux des forces à tondre, que l'on nomme le mâle. Quand le mailleau n'a point de manche, on lui donne le nom de CUREAU.

Note historique et biographique :
CUREAU de la CHAMBRE et de ROULLÉE
CUREAU seigneurs de la Chambre, à St-Jean d’Assé, Roullée, Garenne et Boirnebos, à Roullée, de Chapeau, à Neuville-sur-Sarthie, etc., au Maine ; — Comtes CUREAU de ROULLÉE.
Famille du Maine dont les membres au XVIIe siècle exerçaient principalement les professions de médècin et d’apothicaire.
On peut établir la filiation des Cureau de la Chambre depuis Marin I. Cureau, sgr de la Chambre, de St-Jean-d’Assé, marié en 1595 à N.-D.-des-Champs, proche St-Jean avec Anne Malet.
Leur fils, Marin II., sgr de la Chambre, écuyer, d’abord médecin au Mans, devint conseiller du Roi en ses conseils, et médecin ordinaire de Louis XIV (1646). Il fut l’un des quarante membres de l’Académie Française lors de sa fondation, en 1645, puis membre de l’Académie des Sciences, en 1666. Il reçut des lettres de noblesse le 19 novembre 1669. Marié au Mans, en 1629, à Marie Duchesne, il est le père de Pierre Cureau la Chambre, curé de St-Barthélemy, à Paris, conseiller-aumônier chapelain du Conseil d’Etat, qui entra à l’Académie Française en 1670.

Personnalités historiques:
CUREAU
Le célèbre CUREAU de la CHAMBRE, premier médecin ordinaire de Louis XIII.
CUREAU de la CHAMBRE et Descartes avaient eu beaucoup de peine à faire accepter leurs traités scientifiques en français , et le premier avait rompu des lances à ce sujet dès l'année 1632 en tête de son livre sur "la Digestion" à l'Académie on se partageait en deux camps pour savoir si on composerait en français ou en latin les inscriptions des arcs de triomphe élevés au Roi , et celles des tableaux commémoratifs des galeries de Versailles. (Deux Cureau de la Chambre. Le Mans, Pellichat, 1877.) (Revue historique nobiliaire et biographique, vol.15, 1878.).
- Marin CUREAU de la CHAMBRE, né à Saint-Jean-d'Assé en 1594 et mort à Paris le 29 novembre 1669, est un médecin et philosophe français, conseiller et médecin de Louis XIV.

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